Jobineries

Blogue de Gilles G. Jobin, Gatineau, Québec.

samedi 20 octobre 2018

Poisson 1 (belle marinade)

Logiciel pour apprendre le piano

C'est en chinois (j'pense... ), mais semble excellent pour apprendre le piano.

samedi 30 juin 2018

Serenade (Gillock)

samedi 23 juin 2018

Pour deux pianos

Cette pièce de Hellbach est fort jolie.

mercredi 20 juin 2018

Daniel Hellbach

Je viens de passer quelques heures à explorer la musique de ce compositeur suisse né en 1958.

Un bel exemple ci-dessous :



Évidemment, je n'ai pu m'empêcher de commander quelques unes de ses partitions !

lundi 18 juin 2018

Gillock : Serenade.

Quelques erreurs, évidemment.

samedi 16 juin 2018

Circling Birds d'Oxana Krut

Difficile pour moi de jouer devant du monde... Alors, je me pratique devant une petite caméra. Plusieurs «prises» avant d'en arriver à ceci :

vendredi 6 avril 2018

La chanson des vieux cons

samedi 3 mars 2018

Ces Japonais qu'on adore !

lundi 8 janvier 2018

L'art de pratiquer

The practice of music is a journey of self discovery.
Forrest Halford (Réf.)

mardi 14 novembre 2017

Remords

Remords

Jamais au criminel son crime ne pardonne.
Hugo

Note du transcripteur.
Les Châtiments.
C'est ainsi que le crime à lui-même odieux
Jusque dans son repos se trahit à ses yeux.
Ducis

Note du transcripteur.
Abufar, acte 4, sc. 1 (Abufar)
Rien ne prouve mieux l'âme que le remords. Si intelli­gents que soient les animaux, il n'existe pas chez eux.
P. Caussette

Note du transcripteur.
Panégyrique de Saint Bernard et de son oeuvre.
Extrait précis :
Regardez cet abbé de Rancé passant comme une ombre chancelante au désert, sous le poids des souvenirs de sa jeunesse : il est un noble confesseur de la vérité de l'âme, car rien ne la prouve mieux que le remords. Si intelligents que soient les animaux, jamais le regret du sang versé ou d'une injustice commise ne les empêcha de dormir.
L'oeil était dans la tombe et regardait Caïn.
Hugo

Note du transcripteur.
La Légende des Siècles.
Le remords, cette dernière couronne de l'homme corrom­pu, cette voix domestique et sainte qui rappelle au bien.
Lacordaire

Note du transcripteur.
Conférence : Du plan général de la Création.
Citation exacte :
«Le vice n'a pas la paix et il la veut. L'âme lui oppose le remords, cette dernière couronne de l'homme corrompu, cette voix domestique et sainte qui rappelle au bien [...]»
De ses remords secrets triste et lente victime,
Jamais un criminel ne s'absout de son crime.
Louis Racine

Note du transcripteur.
Poème de la Religion, Chant premier.
Un remords est une terrible chose; un remords conduit à douter de Dieu, parce qu'en doutant de Dieu on doute de la punition.
Dumas père

Note du transcripteur.
Psul Jones, acte 4, sc. 3 (Achard).
Le remords est une douleur qui vous avertit qu'il y a en vous quelques désordres; il sert, comme la douleur phy­sique, à la conservation de la vie.
Lamennais

Note du transcripteur.
Pensées diverses in Oeuvres complèets, t. 1, 1839.
Le corbeau honteux et confus
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.
La Fontaine Le Corbeau et le Renard

Note du transcripteur.

Étienne Blanchard, Recueil d'idées, 1928, 1929, 1941, 1947. Voir le premier billet.
cul-de-lampe

lundi 13 novembre 2017

Religion. LA RELIGION ET LES SAVANTS

Religion. LA RELIGION ET LES SAVANTS

Partout et toujours la volonté du suprême [sic] Auteur de la nature et de tout ce qui existe est invariablement exécutée.
De Lamarck

Note du transcripteur.
Philosophie zoologique, t.1, 1873 p. 114.
Lamarck a écrit sublime Auteur et non suprême Auteur.
Arrivé sur cette limite, le physicien disparait, l'homme religieux seul demeure pour s'écrier avec le prophète : « Les cieux racontent la gloire de Dieu... et nous, nous louons le Seigneur. »
Geoffroy Saint-Hilaire

Note du transcripteur.
Philosophie anatomique. Monstruoristés humaines, 1822.
La citation exacte est :
«Et en effet, arrivé sur cette limite, le physicien disparaît; l'homme religieux (1)seul demeure, pour partager l'enthousiasme du saint prophète et pour s'écrier avec lui : Cœli enarrant gloriam Dei...; laudemus Dominum.»
On trouvera dans les grands ascétiques, formés par le Christianisme, l'art de rétablir les âmes dans leur état normal.
De Blainville

Note du transcripteur.
Histoire des sciences de l'organisation, t. 3, 1845.
La citation exacte est :
«Qu'on médite avec attention, et surtout qu'on pratique les enseignements des ascétiques que le christianisme a instruits et formés, et l'on sera forcé d'avouer que là est une psychologie profonde, et les principes féconds de la guérison des maladies de l'intelligence, l'art de les prévenir, comme celui de les rétablir dans leur état normal, lorsque cela est encore possible.»
Nos systèmes ne sont que la traduction, dans la langue de l'homme, des pensées du Créateur.
Louis Agassiz

Note du transcripteur.
De l'Espèce.
«[...] ces systèmes, désignés par nous sous le nom des grands maîtres de la science qui, les premiers, les proposèrent, ne sont en vérité que la traduction dans la langue de l'homme des pensées du Créateur.»
Citation retirée des éditions subséquentes.
Je suis chrétien avec Descartes, Copernic, Newton, Pascal. Je suis catholique sincère comme l'ont été Corneille, Racine, La Bruyère, Fénelon.
Augustin Cauchy

Note du transcripteur.
Considérations sur les Ordres Religieux, Paris, 1844
Extrait exacte :«« Je suis chrétien, c'est-à-dire que je crois à la divinité de Jésus-Christ, avec Tycho-Brahé, Copernic, Descartes, Newton, Fermat, Leibnitz, Pascal, Grimaldi, Euler, Guldin, Boscovich, Gerdil, avec tous les grands astronomes, tous les grands physiciens, tous les grands géomètres des siècles passés. Je suis même catholique avec la plupart d'entre eux; et, si l'on m'en demandait la raison, je la donnerais volontiers. On verrait que mes convictions sont le résultat, non de préjugés de naissance, mais d'un examen approfondi. On verrait comment se sont gravées à jamais dans mon esprit et dans mon coeur des vérités plus incontestables à mes ueiux que le carré de l'hypoténus ou le théorème de MacLaurin. Je suis catholique sincère, comme l'ont été Corneille, Racine, la Bruyère, Bossuet, Bourdaloue, Fénelon, comme l'ont été et le sont encore un grand nombre des hommes les plus distingués de notre époque, de ceux qui ont fait le plus d'honneur à la science, à la philosophie, à la littérature, qui ont le plus illustré nos Académies. »
Le psaume 113 est la poétique expression, d'une étonnante justesse, de la pensée scientifique moderne.
Elie de Beaumont

Note du transcripteur.
Je ne suis pas convaincu que cette citation soit de Beaumont. Dans Le Contemporain : revue d'économie chrétienne, t. IX, 1875, au chapitre sur le discours de M. Dumas aux obsèques de M. Élie de Beaumont, on lit : « Après avoir reconstitué ainsi, par une vue de l'esprit, ajoute M. Dumas, ce qui a dû se passer dans une de ces révolutions superficielles du globe, M. Elie de Beaumont remonte au psaume 113, ancienne et poétique expression d’une étonnante justesse de la pensée scientifique moderne, et rappelle ces paroles : " Devant la face du Seigneur, la terre s’est émue; la merle vit et s’enfuit; les montagnes bondirent comme des béliers et les collines comme des agneaux. "»
Citations retirées des éditions subséquentes.
Le Seigneur est le Dieu des sciences.
Secchi

Note du transcripteur.
Cette citation fut retirée des éditions subséquentes. La phrase fait partie du Cantique d'Anne.
Derrière les lois de la nature se cache un législateur sans lequel on n'explique rien dans le monde scientifique.
Jean-Baptiste Biot

Note du transcripteur.
Cité dans l'Académie Française au XIXe siècle et la Foi Chrétienne, Casterman, 1896 : «Il faut beaucoup étudier pour comprendre et admirer la matière; mais il faut surtout, et bien davantage, étudier pour arriver à découvrir qu'elle n'est rien par elle-même, et que, derrière ses lois, se cache un législateur sans lequel on n'explique rien. »
Cette citation fut retirée des éditions subséquentes.
Dans quelle branche de connaissances humaines regarde­rait-on, ainsi que le font les matérialistes, les problèmes comme résolus précisément parce qu'on ne sait rien de ce qu'il fau­drait savoir pour les résoudre ?
De Quatrefages

Note du transcripteur.
Référence non trouvée.
Étienne Blanchard, Recueil d'idées, 1928, 1929, 1941, 1947. Voir le premier billet.
cul-de-lampe

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