Par Gilles Jobin,
vendredi 8 février 2013
::Barratineries
De son bel air narquois, le lendemain nous nargue.
La charité recoud tout ce que déchire la médisance.
L'application ne peut faire que le bon ouvrier.
Ce n'est pas la vie, ce sont les hommes qui nous rendent sceptiques par leur hypocrisie, qui font qu'en touchant on doute, qu'en ayant on frémit, qu'en méritant on désespère.
Le vrai repentir a compris : il marchera sur une autre route.
De la sagesse en excès peut devenir folie.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
Par Gilles Jobin,
lundi 4 février 2013
::Semaineries
Bonne idée que ce fond d'écran sous forme de carte heuristique.
Le mind-mapping pour gérer son répertoire d'ouvertures ? Je pense que c'est possible. Je travaille là-dessus !
Par ailleurs, autre nulle dans ma troisième ronde du tournoi Élite Pom. Ma partie commentée est ici et toutes les parties du tournoi sont là.
Au fil de mes lectures. Il est rare qu'un écrivain me contacte. Je fus donc bien surpris lorsque Grégoire Lacroix m'a écrit me demandant mon adresse. Il désirait m'envoyer son « Les Nouveaux Euphorismes de Grégoire ». J'ai reçu le livre cette semaine. Grand merci à lui !
La maisonnée s'est mise à Weight Watchers. Dans six mois, je devrais avoir atteint mon poids santé. On verra bien... !
Avec mes trois profs de français du Centre, nous avons présenté notre projet d'implantation du nouveau programme en troisième secondaire à la FGA. L'accueil fut parfait, et je pense que nous avons étonné bien des gens par notre « culot ».
Je suis bien tranquille sur Twitter depuis quelques jours. Dans la vie, il y a des hauts et des bas, et j'avoue perdre un peu d'intérêt pour les gazouillis orientés pédagogiques.
Par Gilles Jobin,
jeudi 31 janvier 2013
::Barratineries
Sache bien avec qui tu es sincère.
La poésie des soirs est apaisante, celle des matins est aspirante.
Une jolie tristesse, dit-on ; c'est, je suppose, celle qui sait rester douce, dont les yeux sont bons, dont l'attitude est humble, dont le geste est douloureux sans être amer, qui ose regarder le bonheur des autres et lui sourire.
La méfiance gagne en vieillissant.
À l'enfant tout jeune il faut apprendre qu'il a un coeur, plus tard, qu'il a une pensée.
Si l'on convainc, ce n'est qu'à coups de douceur.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913