Jobineries

Blogue de Gilles G. Jobin, Gatineau, Québec.

vendredi 30 juillet 2010

Rang

6 h 45. Promenade matinale des chiens.
Devant la clinique médicale, bien en rang, des gens attendent docilement l'ouverture prévue pour 7 h.
- Ah ! me dis-je, voilà donc à quoi sert l'école.

lundi 26 juillet 2010

Libellule



Une libellule


la main d'un enfant resserre son vol
la convainc même de rester
(Matthieu Gosztola, Sur la musicalité du vide 2, p.36, Atelier de l'Agneau, 2003)

Autres citations sur Au fil de mes lectures.

dimanche 25 juillet 2010

3000000

Sur Au fil de mes lectures, j'ai installé un compteur en février 2001. Et là, il vient tout juste de passer la barre des trois millions de visites.

Sentier

Ce dimanche matin, promenade le long de La Lièvre.







dimanche 18 juillet 2010

Isle-aux-Coudres

Dans un article de la revue québécoise Animal de juin, on signalait, à l'Isle-aux-Coudres, la possible location de chalets acceptant les chiens. C'est ici : Un petit coin de paradis.. Nous en revenons tout juste et ce fut cinq merveilleuses journées.

Un traversier (gratuit !) nous y amène.


Ici, nous sommes avec Talina, la levrette d'Anne et Philippe. Ces derniers nous ont rendu une agréable visite.













Quelques photos supplémentaires accompagnant mon commentaire en réponse à Missmath.





mardi 6 juillet 2010

Aux jeux d'eau

Les p'tits ont passé la fin de semaine chez nous. En fait, non seulement Estéban et Marilise, mais aussi le kéfir de fruits d'Andréanne :



La fin de semaine était belle et chaude ; nous en avons profité pour passer quelques heures aux jeux d'eau :







Nous avons aussi réalisé quelques essais avec Photo Boot dont celui-ci :

lundi 5 juillet 2010

La librairie des ombres

Je viens tout juste de terminer ce premier roman du danois Mikkel Birkegaard.

J’ai acheté ce bouquin de 450 pages sur impulsivité, en lisant la quatrième de couverture :
Nichée au coeur de Copenhague se trouve une vieille librairie au nom italien : Libri di Luca. Son propriétaire, Luca Campelli, vient de mourir de manière très abrupte et pour le moins... étrange. C'est Jon, son fils, avec qui il a rompu tout contact depuis 20 ans, qui hérite du magasin. Entraîné malgré lui dans l'histoire familiale, Jon découvre bientôt que cette librairie renferme un secret fabuleux. Son père était en fait à la tête d'une société de « lettore », des personnes dotées d'un pouvoir exceptionnel leur permettant d'influencer la lecture des autres, de créer des mondes merveilleux, de donner naissance à des histoires extraordinaires... mais aussi de manipuler jusqu'au meurtre. [...]
Les lettore se divisent en deux groupes : les Émetteurs qui, en lisant, influencent les auditeurs, et les Récepteurs qui, lorsque situés à proximité des lecteurs, peuvent les influencer. Évidemment, tout cela est un peu farfelu, mais je croyais tout de même pouvoir passer un agréable moment de lecture. J’aime bien les romans qui tournent autour des livres, des bibliothèques et des librairies.

Cependant, la lecture m’est apparue assez pénible : on tombe dans du fantastique « facile », des incohérences qui m’ont achalé (deux personnages qui tombent dans les bras l’un de l’autre sans qu’on sache trop pourquoi ; plus d’un mois à une carte postale pour passer de l’Égypte au Danemark, c’est long ; un lavage de cerveau qui cesse juste avec un regard ; etc.) et des situations arrangées avec le « gars des vues. »

En résumé, une lecture décevante, ce qui, heureusement, m’arrive fort rarement !