dimanche 29 octobre 2006
Citation du jour
Par Gilles Jobin, dimanche 29 octobre 2006 :: Briberies
Cet enfant joue. À partir de quel instant a-t-il des opinions qui vaillent la mort ?
Antoine de Saint-Exupéry, Carnets, p.64, Éd. Gallimard, 1953.
dimanche 29 octobre 2006
Par Gilles Jobin, dimanche 29 octobre 2006 :: Briberies
Cet enfant joue. À partir de quel instant a-t-il des opinions qui vaillent la mort ?
Antoine de Saint-Exupéry, Carnets, p.64, Éd. Gallimard, 1953.
samedi 28 octobre 2006
Par Gilles Jobin, samedi 28 octobre 2006 :: Danseries
jeudi 26 octobre 2006
Par Gilles Jobin, jeudi 26 octobre 2006 :: Briberies
Par Gilles Jobin, jeudi 26 octobre 2006 :: Linuxeries
mercredi 25 octobre 2006
Par Gilles Jobin, mercredi 25 octobre 2006 :: Généraleries
Si vous étalez la hausse de la valeur, vous ne percevez donc pas une taxe sur 100 pour 100 de la valeur. Vous la percevez sur le tiers, la première année, sur le deux tiers, la deuxième. Fondamentalement, ce que cela donne comme résultat, c'est un compte de taxe qui baisse par rapport à ce qu'il aurait été si on n'avait pas ce projet de loi-là.À croire qu'il nous prend vraiment pour des imbéciles. Notez que cette augmentation de taxes n'ajoute aucun service en éducation. Ce que la CS gagne par la taxe scolaire, le gouvernement le retire par la peréquation. Quelle merde que cette administration gouvernementale !
Le ministre Fournier, responsable du MELS.
Par Gilles Jobin, mercredi 25 octobre 2006 :: Danseries
mardi 24 octobre 2006
Par Gilles Jobin, mardi 24 octobre 2006 :: Définitioneries
Un sage suit la mode, et tout bas il s'en moque;Qu'est-ce que rompre en visière ? Antidote nous répond :
Il déteste l'erreur, le vice, les abus,
Mais sans rompre en visière aux hommes corrompus.
Par Gilles Jobin, mardi 24 octobre 2006 :: Ouaibineries
vendredi 20 octobre 2006
Par Gilles Jobin, vendredi 20 octobre 2006 :: Linuxeries
jeudi 19 octobre 2006
Par Gilles Jobin, jeudi 19 octobre 2006 :: Briberies
[Sur un schéma où] chaque humain est un point, il faut dessiner des flèches allant de l'un à l'autre et de l'autre à l'un. La réalité d'une collectivité est dans l'entrelacs de ces flèches.
Éduquer, c'est apporter du contenu à ces liens, c'est créer des réciprocités, c'est proposer à chacun d'être l'un des dépositaires du trésor collectif, d'être de ceux qui l'enrichiront, d'être aussi face à la génération suivante, un passeur de témoin. (p. 158)
La cité idéale est celle où tout est école. (p. 160)
L'éducation est semblable à un art; elle est une création perpétuelle qui progresse en provoquant des rencontres toujours nouvelles. [...] Le système éducatif peut donc être défini comme le lieu où l'on enseigne et où l'on pratique l'art de la rencontre. (p. 163)
Or l'éducation n'a nul besoin de palmarès. À quoi peut bien servir le constat que l'élève X est « meilleur » que l'élève Y ? Ce besoin est arbitrairement suggéré par la société, qui propose en effet à chacun de se contenter du confort intellectuel qu'apporte la soumission à de multiples hiérarchies. Elle nous fait admettre qu'un parcours de vie se résume à un enchaînement de sélections. Pour jour véritablement son rôle, l'école devrait tout au contraire tenir compte du potentiel créateur de chacun. (p. 168)
Le risque est grand que l'on réfléchisse à l'éducation avec une mentalité d'ingénieur s'efforçant de produire des objets définis avec précision, ou avec un regard d'économiste, de comptable, s'efforçant de dégager la meilleure rentabilité. (p. 170)
Les examens, considérés comme des événements importants qui rythment la succession des trimestres, y tiennent une place démesurée. Charles Pepinster, du GBEN, a calculé que, compte tenu de leur préparation et de leur correction, ils représentent une durée totale de deux années sur les douze des études primaires et secondaires. Ce sont deux années inutilement consacrées non à aider les élèves, à les faire progresser mais à les juger, les sélectionner, les exclure. (p. 183)
[...] La liberté de chacun ne peut s'épanouir que si la société ne possède pas trop d'informations sur lui. « Je suis celui que l'on me croit », dit un personnage de Pirandello. Mieux encore serait : « Laissez-moi devenir celui que je choisis d'être. »(p.193)
mercredi 18 octobre 2006
Par Gilles Jobin, mercredi 18 octobre 2006 :: Généraleries
Par Gilles Jobin, mercredi 18 octobre 2006 :: Livrogneries
« Je ne sers ni duc ni prince, et je n'appartiens à aucune ville, à aucun pays, aucun royaume. Je ne sers que ma passion d'observer, de comprendre, d'ordonner et de créer, et je n'appartiens qu'à mon oeuvre. »