Jobineries

Blogue de Gilles G. Jobin, Gatineau, Québec.

mardi 30 juin 2009

Capitatlisme

Chacun vaut ce que valent les objectifs de son effort.
Marc-Aurèle


« Payer les élèves pour récompenser leurs efforts ? » a été publié hier dans La Presse. (L'article n'est pas en ligne.)

Je suppose que tout cela dépend de la réponse à la question suivante : Doit-on considérer l'apprentissage d'une matière comme un travail ou comme un salaire ?

Moi, je le considère comme un plaisir !

Lire le billet de Mario Asselin auquel j'ai laissé un commentaire.

samedi 27 juin 2009

Kat

Elle est arrivée aujourd'hui. Crystal Catwoman rebaptisée Kat. Elle aura quatre ans dans deux semaines !


mardi 23 juin 2009

Bergson 1

Les cartes heuristiques sont bien pratiques pour prendre des notes. J'ai reçu aujourd'hui « Pour connaître la pensée de Bergson » de François Meyer (1964). Ci-dessous, mon résumé du chapitre 1. Cliquez sur l'image pour l'agrandir.

Bergson

dimanche 21 juin 2009

Au parc



lundi 15 juin 2009

Alireza Darvish

De magnifiques illustrations sur le site d'Alireza Darvish.

dimanche 14 juin 2009

La faim

« Mon Dieu, donnez-nous notre faim quotidienne !  a écrit Gaston Bachelard. Coupons ce Dieu, et disons plutôt : « Donnons-nous notre faim quotidienne. »

mercredi 10 juin 2009

Benni

Stefano Benni, un auteur que j'apprécierai certainement.
Et hop ! Un autre titre sur ma liste des livres à acheter.

lundi 8 juin 2009

Autre Scratch

Pendant que j'expliquais un jeu à un client, chaton s'est bien installé dans mon sac d'ordinateur.

dimanche 7 juin 2009

Pulsation de la vie

Quatrième de couverture

« Je me demande comment cet ouvrage est arrivé à Guernesey. Peut-être les livres possèdent-ils un instinct de préservation secret qui les guide jusqu'à leur lecteur idéal... »

Janvier 1946. Tandis que Londres se relève douloureusement de la guerre, Juliet, jeune écrivain, cherche un sujet pour son prochain roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d'un inconnu, natif de l'île de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil de ses échanges avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre un monde insoupçonné, délicieusement excentrique ; celui d'un club de lecture au nom étrange inventé pour tromper l'occupant allemand : le « Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates ». De lettre en lettre, Juliet découvre l'histoire d'une petite communauté débordante de charme, d'humour, d'humanité. Et puis vient le jour où, à son tour, elle se rend à Guernesey...
On en parle beaucoup sur le web, et avec raison, de ce premier livre de mesdames Mary Ann Shaffer et Annie Barrows, nièce de la première.

En le lisant, j'ai pensé aux écrits d'Anna Gavalda et à l'excellent roman (épistolaire aussi) d'Helene Hanff : 84, Charing Cross Road.

J'aime ces romans où l'on sent la vie ondoyer.

mercredi 3 juin 2009

Semaine tragique

La semaine dernière fut épouvantable, la pire en cinq ans.

Mardi, Andréanne nous annonça le décès de Jean, son beau-père. Elle a fait un bon billet qui le décrit fort bien. Quant à moi, je retiens son immense courage. Et aussi son incroyable sens de l'humour dont ses trois fils ont d'ailleurs hérité.

À la cérémonie, Éléonore, une petite amie d'Estéban, lui lança :

- Il ne te reste plus qu'un grand-père.
- Mais non, répondit-il, il y a aussi ma grand-maman Marie.

* * *


Puis, jeudi...

Marie part avec les chiens pour leur promenade matinale.

Autour de 6 h 15, le téléphone sonne.

- Chéri, je suis au dépanneur près du parc. Viens nous chercher : Ubuntu s'est blessée et elle ne peut marcher.

Elle ne pouvait plus se tenir sur sa patte droite avant. Probablement une cassure.

Énervés, nous attendons 8 h, l'ouverture de la clinique.

- Il n'y a pas de doute, c'est effectivement une cassure, nous confirme la vétérinaire. On va prendre une radiographie.

La radiographie indiquait une très, mais très vilaine cassure. Comme si l'os, semblable à du verre, avait éclaté.

- Comment est-ce arrivé ? nous demanda la vétérinaire.
- Elle courait, tout simplement. Et tout à coup, sans aucune raison (pas de trou, pas d'enfargement, rien) elle s'est arrêtée en lançant des cris perçants.
- Une telle cassure n'est vraiment pas normale. Cependant vous êtes chanceux dans votre malchance, nous rassure-t-elle, car en après-midi, un spécialiste des os brisés sera à la clinique.

Mais la solution espérée (une espèce de «pin» qui maintiendrait les morceaux de l'os) s'avère impossible aux dires de ce spécialiste.

De plus, il semblait grandement probable que la chienne était aux prises avec le cancer des os. Toute la journée, nous avons tenté de trouver, sans succès, une solution.

Ubuntu s'est éteinte doucement jeudi soir.