Richard Brinsley Sheridan
1751-1816
- [...] La conversation où l'esprit de raillerie est supprimé paraîtra toujours ennuyeuse et insipide.
(L'École de la Médisance, acte 1, sc.2 [Joseph Surface], trad. Hégésippe Cler, p.29, Maurice Dreyfous, 1879.)
- [...] Il n'y a pas moyen d'avoir de l'esprit sans être un peu méchant ; la malice d'un bon mot est la pointe qui le fait piquer.
(L'École de la Médisance, acte 1, sc.2 [Lady Sneerwell], trad. Hégésippe Cler, p.29, Maurice Dreyfous, 1879.)
- [...] Car l'homme qui peut violer les lois de l'hospitalité et s'attaquer à la femme de son ami, mérite d'être flétri comme le fléau de la société.
(L'École de la Médisance, acte 4, sc.3 [Joseph], trad. Hégésippe Cler, p.119, , Maurice Dreyfous, 1879.)
- La sagesse comme l'expérience doit s'acheter.
(L'École de la Médisance, acte 4, sc. 3 [Joseph], trad. Hégésippe Cler, p.115, Maurice Dreyfous, 1879.)
- [...] Le coeur qui a conscience de sa pureté a toujours de la peine à croire à la perfidie des autres.
(L'École de la Médisance, acte 4 sc. 3 [Joseph], trad. Hégésippe Cler, p.119, Maurice Dreyfous, 1879.)
- Quand le trait qui nous frappe est encore aiguisé par l'ingratitude, la blessure et d'autant plus vive.
(L'École de la Médisance, acte 4, sc.3 [Joseph], trad. Hégésippe Cler, p.120, Maurice Dreyfous, 1879.)
- [...] Le moins que l'on parle est le mieux.
(L'École de la Médisance, acte 5, sc. 3 [Sir Oliver], trad. Hégésippe Cler, p.166, Maurice Dreyfous, 1879.)