Paulo Coelho
1947
  1. [...] les bergers, comme les marins et les commis voyageurs, connaissent toujours une ville où existe quelqu'un capable de leur faire oublier le plaisir de courir le monde en toute liberté.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 16, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  2. C'est justement la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 22, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  3. Quand Dieu parle le langage du monde, je peux en faire l'interprétation. Mais s'il parle le langage de ton âme, alors il n'y a que toi qui puisses comprendre.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 24, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  4. Les choses simples sont les plus extraordinaires, et seuls les savants parviennent à les voir.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 27, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  5. [...] tout le monde croit savoir exactement comment nous devrions vivre.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 29, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  6. [...] il y a une grande vérité en ce monde : qui que tu sois et quoi que tu fasses, lorsque tu veux vraiment quelque chose, c'est que ce désir est né dans l'Âme de l'Univers.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 35, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  7. [...] parfois, les choses changent, dans la vie, en l'espace d'un simple cri, avant même qu'on ait le temps de s'habituer à ces choses.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 57, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  8. Je suis comme tous les autres : je vois le monde comme je souhaiterais que les choses se produisent, et non comme elles se produisent réellement.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 59, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  9. [...] ce qui séduit le plus les hommes, c'est la beauté.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 78, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  10. Je ne veux pas changer, parce que je ne sais pas comment changer. Je suis désormais tout à fait habitué à moi-même.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 79, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  11. [...] toute bénédiction qui n'est pas acceptée se transforme en malédiction.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 79, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  12. [...] il y avait dans le monde un langage qui était compris de tous [...]. C'était le langage de l'enthousiasme, des choses que l'on fait avec amour, avec passion, en vue d'un résultat que l'on souhaite obtenir ou en quoi l'on croit.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 87, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  13. Dans la vie, tout est signe.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 97, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  14. [...] personne ne doit avoir peur de l'inconnu, parce que tout homme est capable de conquérir ce qu'il veut et qui lui est nécessaire.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 105, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  15. Quand on aime, les choses ont encore davantage de sens.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 138, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  16. À la vérité, les choses ne révélaient rien par elles-mêmes ; c'étaient les gens qui, en observant les choses, découvraient la façon de pénétrer l'Âme du monde.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 139, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  17. Chaque jour porte en lui l'Éternité.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 142, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  18. Mais le vin était interdit par la loi.
    " Le mal, dit l'Alchimiste, ce n'est pas ce qui entre dans la bouche de l'homme. Le mal est dans ce qui en sort. "

    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 157, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  19. Il n'y a qu'une façon d'apprendre, [...]. C'est par l'action.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 170, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  20. [...] l'heure la plus sombre est celle qui vient juste avant le lever du soleil.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 179, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  21. [...] quand nous avons de grands trésors sous les yeux, nous ne nous en apercevons jamais. Et sais-tu pourquoi ? Parce que les hommes ne croient pas aux trésors.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 181, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  22. [...] lorsqu'une chose évolue, tout ce qui est autour évolue de même.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 185, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  23. En général, la mort fait que l'on devient plus attentif à la vie.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 191, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  24. C'est quand on aime que l'on arrive à être quelque chose de la Création. Quand on aime, on n'a aucun besoin de comprendre ce qui se passe, car tout se passe alors à l'intérieur de nous, et les hommes peuvent se transformer en vents. À condition que les vents les aident, bien sûr.
    (L'Alchimiste, trad. Jean Orecchioni, p. 197, Éd. J'ai Lu no 4120)
     
  25. Nous souffrons parce que nous croyons donner plus que nous ne recevons.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.11, J'ai Lu no 4385)
     
  26. Je me souviens de mon instant magique, de ce moment où un " oui " ou un " non " peut changer toute notre existence.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.16, J'ai Lu no 4385)
     
  27. Toutes les histoires d'amour sont semblables.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.16, J'ai Lu no 4385)
     
  28. Le bonheur est parfois une bénédiction - mais, le plus souvent, c'est une conquête.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.22, J'ai Lu no 4385)
     
  29. Il y a des instants magiques qui passent inaperçus et puis, tout à coup, la main du destin change notre univers.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.25, J'ai Lu no 4385)
     
  30. Celui qui est capable de maîtriser son coeur est capable de conquérir le monde.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.52, J'ai Lu no 4385)
     
  31. Aimer, c'est perdre le contrôle.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.54, J'ai Lu no 4385)
     
  32. Ce qui existe, ce sont les échecs. Personne n'y échappe. Aussi vaut-il mieux perdre quelques combats en luttant pour ses rêves que d'être battu sans seulement savoir pour quoi on lutte.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.77, J'ai Lu no 4385)
     
  33. Les dieux jettent les dés et ne demandent pas si nous avons envie de jouer.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.78, J'ai Lu no 4385)
     
  34. L'univers nous aide toujours à nous battre pour nos rêves, si bêtes qu'ils puissent paraître. Parce que ce sont nos rêves, et nous sommes seuls à savoir combien il nous a coûté de les rêver.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.81, J'ai Lu no 4385)
     
  35. Il est inutile de parler de l'amour, car l'amour possède sa propre voix, et parle de lui-même.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.101, J'ai Lu no 4385)
     
  36. Et le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.109, J'ai Lu no 4385)
     
  37. [...] la vérité se trouve toujours là où existe la foi.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.115, J'ai Lu no 4385)
     
  38. Nous sommes notre plus grande surprise.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.118, J'ai Lu no 4385)
     
  39. Un royaume divisé ne résiste pas aux attaques de l'ennemi. Un être humain divisé ne réussit pas à affronter dignement la vie.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.131, J'ai Lu no 4385)
     
  40. L'amour se découvre dans l'acte d'aimer.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.146, J'ai Lu no 4385)
     
  41. [...] lorsqu'un nombre déterminé d'individus évoluent, c'est l'espèce tout entière qui finit par évoluer.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.177, J'ai Lu no 4385)
     
  42. [...] le destin des montagnes doit être terrible. Elles sont obligées de contempler toujours le même paysage.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.191, J'ai Lu no 4385)
     
  43. Savoir qu'aucun jour n'est semblable à un autre, et que chaque matin comporte son miracle particulier, son moment magique, où de vieux univers s'écroulent et de nouvelles étoiles apparaissent.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.215, J'ai Lu no 4385)
     
  44. C'est une chose de penser que l'on est sur le bon chemin, une autre de croire que ce chemin est le seul.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.225, J'ai Lu no 4385)
     
  45. Les rêves donnent du travail.
    (Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, trad. Jean Orecchioni, p.248, J'ai Lu no 4385)