Maurice Maeterlinck
1862-1949
- [...] nous ne voyons souvent que l'envers des destinées...
(Pelléas et Mélisande, p.11, Éd. Fasquelle)
- [...] les vieillards ont besoin de toucher quelquefois, de leurs lèvres, le front d'une femme ou la joue d'un enfant, pour croire encore à la fraîcheur de la vie et éloigner un moment les menaces de la mort.
(Pelléas et Mélisande, p.49, Éd. Fasquelle)
- Si j'étais Dieu, j'aurais pitié du coeur des hommes...
(Pelléas et Mélisande, p.52, Éd. Fasquelle)
- Je ne sais pas ce que je dis... Je ne sais pas ce que je sais... Je ne dis plus ce que je veux...
(Pelléas et Mélisande, p.64, Éd. Fasquelle)
- Il faut dire la vérité à quelqu'un qui va mourir... Il faut qu'il sache la vérité, sans cela il ne pourrait pas dormir...
(Pelléas et Mélisande, p.66, Éd. Fasquelle)
- C'était un pauvre petit être mystérieux, comme tout le monde...
(Pelléas et Mélisande, p.72, Éd. Fasquelle)