Jeanne Landre
1874-1936
  1. Les intellectuelles ont mille raisons d'aimer les imbéciles.
    (Cité par Cario et Régismanset dans La Pensée Française, p. 455, Mercure de France, 1921)
     
  2. Près d'une virago, l'amant a l'air de son parapluie.
    (Cité par Cario et Régismanset dans La Pensée Française, p. 455, Mercure de France, 1921)
     
  3. Il est des gens dont la figure appelle le coup de pied.
    (Cité par Cario et Régismanset dans La Pensée Française, p. 455, Mercure de France, 1921)
     
  4. Pour certaines femmes, se donner à un homme c'est une façon de lui dire bonjour.
    (Cité par Cario et Régismanset dans La Pensée Française, p. 455, Mercure de France, 1921)
     
  5. Il y a quelque chose de répugnant à entendre les vieux ménages parler de leurs rapports sexuels. Il semble que, passé un certain délai de cohabitation, la volupté soit anormale.
    (Cité par Cario et Régismanset dans La Pensée Française, p. 455, Mercure de France, 1921)
     
  6. Il y a des baisers d'une volupté si complète que c'est folie de parachever l'expérience.
    (Cité par Cario et Régismanset dans La Pensée Française, p. 455, Mercure de France, 1921)
     
  7. La femme qui n'est pas mère se voudrait celle de son amant.
    (Cité par Cario et Régismanset dans La Pensée Française, p. 455, Mercure de France, 1921)
     
  8. Il arrive que la possession ne tue pas l'amour ; mais c'est toujours aventureux que de vouloir connaître jusque dans ses tares celui ou celle qu'on idéalise.
    (Cité par Cario et Régismanset dans La Pensée Française, p. 456, Mercure de France, 1921)
     
  9. Mépriser l'homme que l'on aime, c'est avouer que rien ne vous séparera de lui.
    (Cité par Cario et Régismanset dans La Pensée Française, p. 456, Mercure de France, 1921)