Alexandre Guiraud
1788-1847
- Une grande vengeance est digne d'un grand coeur.
(Le Comte Julien, acte 1, sc. 1 (Zéila), 1823)
- Le cri de la patrie, étouffant les discords,
Doit, contre l'étranger, unir tous nos efforts.
(Le Comte Julien, acte 1, sc. 5 (Lydda), 1823)
- L'insulte et le mépris jetés sur une femme
Confondent sa raison et flétrissent son âme.
(Le Comte Julien, acte 2, sc. 4 (Lydda), 1823)
- La patrie envers nous est toujours innocente.
(Le Comte Julien, acte 3, sc. 3 (Julien), 1823)
- Le crime naît du crime et lui-même s'expie.
(Le Comte Julien, acte 3, sc. 7 (Lydda), 1823)
- Des grands maux naît toujours une grande espérance.
(Le Comte Julien, acte 5, sc. 5 (Lydda), 1823)
- [...] Souvent le pardon encourage aux forfaits.
(Les Machabées, acte 1, sc. 1 (Antiochus), 1822)
- La terreur ne soumet les peuples qu'un moment.
(Les Machabées, acte 1, sc. 1 (Antiochus), 1822)
- Dieu peut frapper un roi qui trahit ses serments.
(Les Machabées, acte 1, sc. 3 (Mizael), 1822)
- Oh! que rapidement nous échappe un doux songe.
(Les Machabées, acte 2, sc. 2 (Mizael), 1822)
- Heureux nos guerriers morts au milieu des soldats.
(Les Machabées, acte 4, sc. 2 (Nephtali), 1822)
- [...] Un prince avant tout doit sauver ses États.
(Les Machabées, acte 5, sc. 1 (Antiochus), 1822)
- Le sang m'est en horreur versé loin des combats.
(Les Machabées, acte 5, sc. 1 (Antiochus), 1822)