Stan Rougier
1930
  1. La vraie faute, c'est quoi ? C'est de ne pas aimer, c'est de manquer d'amour ! C'est rendre l'autre malheureux, le juger, le condamner, ne pas lui permettre de s'épanouir, de s'accomplir.
    (in Innocente culpabilité de Marie de Solemne, p.33, Éd. Dervy, 1998)
     
  2. Quand on ne sait plus où est le bien, où est le mal, non seulement on ne sait plus où l'on va mais on ne sait même plus qui on est.
    (in Innocente culpabilité de Marie de Solemne, p.35, Éd. Dervy, 1998)
     
  3. [...] un teigneux qui devient théologien, cela donne peut-être un théologien de plus mais pas un teigneux de moins.
    (in Innocente culpabilité de Marie de Solemne, p.37, Éd. Dervy, 1998)
     
  4. On se sent coupable de petites choses pour éviter de se sentir coupable de choses importantes.
    (in Innocente culpabilité de Marie de Solemne, p.39, Éd. Dervy, 1998)
     
  5. Lorsqu'on dit que la religion est culpabilisante, c'est faux ! Ce sont les gens qui se servent de la religion qui sont culpabilisants.
    (in Innocente culpabilité de Marie de Solemne, p.40, Éd. Dervy, 1998)
     
  6. L'amour ne se revendique pas. Soit il y en a et c'est un merveilleux cadeau, soit il n'y en a pas et il faut en donner.
    (in Innocente culpabilité de Marie de Solemne, p.41, Éd. Dervy, 1998)
     
  7. Un saint, c'est quelqu'un qui cherche à aimer. Même s'il est rempli de défauts, il progresse.
    (in Innocente culpabilité de Marie de Solemne, p.45, Éd. Dervy, 1998)
     
  8. Ce n'est pas facile d'aimer. Il faut toute une vie pour découvrir cela !
    (in Innocente culpabilité de Marie de Solemne, p.47, Éd. Dervy, 1998)
     
  9. L'amour c'est ce climat qui fait qu'un être s'accomplit. Pour qu'une plante pousse bien, il lui faut de l'humidité et de la lumière. Pour qu'un être pousse bien, il lui faut de l'amour et du respect.
    (in Innocente culpabilité de Marie de Solemne, p.49, Éd. Dervy, 1998)
     
  10. L'enfance [...] est le grenier de nos émotions.
    (in Innocente culpabilité de Marie de Solemne, p.53, Éd. Dervy, 1998)