Pittacus
-640 à -568
  1. Un fils voulait plaider contre son père. « Vous serez condamné, lui dit Pittacus, si votre cause est moins juste que la sienne : si elle est plus juste, vous serez encore condamné. »
    (Moralistes anciens, p.530, choix de Louis Aimé-Martin, Lefèvre et Chapentier, Paris, 1844)
     
  2. Heureux le prince, quand ses sujets craignent pour lui, et ne le craignent pas !
    (Moralistes anciens, p.530, choix de Louis Aimé-Martin, Lefèvre et Chapentier, Paris, 1844)
     
  3. Tu réponds pour un autre : le repentir n'est pas loin.
    (Moralistes anciens, p.531, choix de Louis Aimé-Martin, Lefèvre et Chapentier, Paris, 1844)
     
  4. L'homme prudent sait prévenir le mal ; l'homme courageux le supporte sans se plaindre.
    (Moralistes anciens, p.531, choix de Louis Aimé-Martin, Lefèvre et Chapentier, Paris, 1844)
     
  5. J'aime la maison où je ne vois rien de superflu, où je trouve tout le nécessaire.
    (Moralistes anciens, p.531, choix de Louis Aimé-Martin, Lefèvre et Chapentier, Paris, 1844)
     
  6. Voulez-vous connaître un homme ? Revêtez-le d'une grande puissance.
    (Moralistes anciens, p.531, choix de Louis Aimé-Martin, Lefèvre et Chapentier, Paris, 1844)
     
  7. L'état est heureux quand les méchants ne peuvent y commander.
    (Moralistes anciens, p.531, choix de Louis Aimé-Martin, Lefèvre et Chapentier, Paris, 1844)
     
  8. Attends de tes enfants dans ta vieillesse ce que toi-même auras fait pour ton père.
    (Moralistes anciens, p.531, choix de Louis Aimé-Martin, Lefèvre et Chapentier, Paris, 1844)
     
  9. Cache ton bonheur : mais, en fuyant l'envie, n'excite pas la pitié.
    (Moralistes anciens, p.531, choix de Louis Aimé-Martin, Lefèvre et Chapentier, Paris, 1844)
     
  10. En commandant aux autres, sache te gouverner toi-même.
    (Moralistes anciens, p.531, choix de Louis Aimé-Martin, Lefèvre et Chapentier, Paris, 1844)