Tristan Bernard
1866-1947
- Ah ! que ne suis-je riche, pour venir en aide au pauvre que je suis !
(Le fardeau de la preuve, p.41 , in Théâtre complet 1, Calmann-Lévy, 1925)
- Ah ! que les hommes sont méchants de ne pas m'aimer autant que je m'aime !
(Le fardeau de la preuve, p.42 , in Théâtre complet, 1 Calmann-Lévy, 1925)
- La liberté est un bien précieux, mais il faut avoir un petit capital d'exploitation pour le cultiver.
(Le fardeau de la preuve, p.60 , in Théâtre complet 1, Calmann-Lévy, 1925)
- [...] faire le mal, c'est en vouloir à mon bien...
(Le fardeau de la preuve, p.62 , in Théâtre complet 1, Calmann-Lévy, 1925)
- Il sent que je ne l'aime pas. Alors, il ne me croit pas capable d'aimer personne, c'est bien naturel.
(Daisy, p.102 , in Théâtre complet 1, Calmann-Lévy, 1925)
- Quand je vous vois, j'ai des tas de choses à vous dire, eh bien, elles ne sortent pas... C'est vraiment difficile à dire aux gens qu'on les aime... quand on les aime vraiment...
(Monsieur Codomat, p.171 , in Théâtre complet 1, Calmann-Lévy, 1925)
- Plus on rencontre des difficultés dans la vie, plus on a en soi de fierté et de contentement de soi-même...
(Monsieur Codomat, p.187 , in Théâtre complet 1, Calmann-Lévy, 1925)