Chemin faisant, page 93
Par Gilles Jobin, jeudi 29 mars 2012 :: Barratineries :: #1392 :: rss
Laissons venir les ans, comme Notre-Seigneur laissait venir à lui les petits enfants.
Partout où je vois le bon sens, je me sens en sûreté.
Tous les témoignages ne nous flattent pas, toutes les parures ne nous vont pas.
L'observateur est comme l'armateur : tous les voyages ne l'enrichissent pas.
De vieux yeux avides, de vieilles mains cramponnantes, de vieilles soifs haletantes, je ne sache rien de plus odieux.
On n'est pas plus sûr de trouver la simplicité derrière une fille pauvre que le bonheur derrière une fille riche.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Partout où je vois le bon sens, je me sens en sûreté.
Tous les témoignages ne nous flattent pas, toutes les parures ne nous vont pas.
L'observateur est comme l'armateur : tous les voyages ne l'enrichissent pas.
De vieux yeux avides, de vieilles mains cramponnantes, de vieilles soifs haletantes, je ne sache rien de plus odieux.
On n'est pas plus sûr de trouver la simplicité derrière une fille pauvre que le bonheur derrière une fille riche.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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