lundi 19 mars 2012
Chemin faisant, page 83
Par Gilles Jobin, lundi 19 mars 2012 :: Barratineries
La brume se déride, l'air joue avec la plante, la corolle ouvre son corsage, l'espérance s'habille à neuf, les caresses sortent de leur sommeil, les rêves voltigent dans l'air, la nature se réveille et le printemps naît.
Nos idées sont-elles le résultat de nos forces, ou nos forces le résultat de nos idées?
Dans certaines circonstances, qu'il est bon, non seulement d'être indifférent, mais de le montrer !
On déveloute la pureté rien qu'en en parlant !
Pour devenir riche, nos talents nous servent plus que nos qualités.
Il est aussi difficile de raisonner ce qu'on aime qu'aimer ce qu'on raisonne.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Nos idées sont-elles le résultat de nos forces, ou nos forces le résultat de nos idées?
Dans certaines circonstances, qu'il est bon, non seulement d'être indifférent, mais de le montrer !
On déveloute la pureté rien qu'en en parlant !
Pour devenir riche, nos talents nous servent plus que nos qualités.
Il est aussi difficile de raisonner ce qu'on aime qu'aimer ce qu'on raisonne.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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