Chemin faisant, page 89
Par Gilles Jobin, dimanche 25 mars 2012 :: Barratineries :: #1385 :: rss
On a toujours un désir malicieux embusqué dans quelque coin.
Le public est comme la mer, il gronde sans savoir pourquoi.
Les vallées suivent fidèlement les fleuves, mais les fleuves, j'en suis sûre, ont bien souvent envie de quitter les vallées.
On regrette presque d'avoir dit la vérité quand on ne vous a pas cru.
Le sort du navire est entre les mains de celui qui le dirige, et chacun de nous est capitaine d'un navire.
Pour éviter une scène, faites-la. r
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Le public est comme la mer, il gronde sans savoir pourquoi.
Les vallées suivent fidèlement les fleuves, mais les fleuves, j'en suis sûre, ont bien souvent envie de quitter les vallées.
On regrette presque d'avoir dit la vérité quand on ne vous a pas cru.
Le sort du navire est entre les mains de celui qui le dirige, et chacun de nous est capitaine d'un navire.
Pour éviter une scène, faites-la. r
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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