Chemin faisant, page 84
Par Gilles Jobin, mardi 20 mars 2012 :: Barratineries :: #1377 :: rss
Nos passions se rhabillent avec nous tous les matins.
Les grandes espérances, comme les grands lévriers, aiment les grands chemins.
Le Français s'écoute, l'Anglais se mesure, l'Allemand se pèse, l'Italien se mire, l'Espagnol se glorifie.
Le dernier mot de l'analyse, c'est le dégoût ou le pardon.
Les principes sont des points de refuge, où l'homme se gare de la passion.
Il est difficile de porter l'automne d'un coeur qui n'a pas eu de printemps.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Les grandes espérances, comme les grands lévriers, aiment les grands chemins.
Le Français s'écoute, l'Anglais se mesure, l'Allemand se pèse, l'Italien se mire, l'Espagnol se glorifie.
Le dernier mot de l'analyse, c'est le dégoût ou le pardon.
Les principes sont des points de refuge, où l'homme se gare de la passion.
Il est difficile de porter l'automne d'un coeur qui n'a pas eu de printemps.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment.
Ajouter un commentaire
Gilles Jobin
Les commentaires pour ce billet sont fermés.