Chemin faisant, page 62
Par Gilles Jobin, mercredi 29 février 2012 :: Barratineries :: #1332 :: rss
Ne croyez ceux qui disent : « Fi de l'or ! » que s'ils en ont des piles sous la main.
La tentation est une habile maîtresse qui nous caresse sans nous aimer, qui nous émeut sans s'émouvoir.
La vie nous demande toujours, et quand nous ne lui donnons pas, elle prend.
La vie nous oblige bien inutilement à penser à nous : personne, je crois, ne l'eût oublié.
L'esprit de sa position, la force de sa tâche, le caractère de son milieu, dons précieux du sort.
Un noble ne s'ignore jamais, un riche fort rarement, un sot toujours.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
La tentation est une habile maîtresse qui nous caresse sans nous aimer, qui nous émeut sans s'émouvoir.
La vie nous demande toujours, et quand nous ne lui donnons pas, elle prend.
La vie nous oblige bien inutilement à penser à nous : personne, je crois, ne l'eût oublié.
L'esprit de sa position, la force de sa tâche, le caractère de son milieu, dons précieux du sort.
Un noble ne s'ignore jamais, un riche fort rarement, un sot toujours.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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