Chemin faisant, page 243
Par Gilles Jobin, mardi 21 août 2012 :: Barratineries :: #1637 :: rss
Quand on lève les yeux, comme le champ est grand devant soi !
Il ne faut que du bon sens pour n'être pas ridicule.
Il faut parfois beaucoup de temps pour comprendre la vérité.
Quand je souffre, je ne puis m'empêcher de dire : S'ils me voyaient, quelle bonne journée pour mes envieux!
La douleur a beau nous montrer qu'elle nous aime, nous, nous ne l'aimons pas.
L'amour-propre, c'est plus que l'amour de soi, c'est l'amour de tout ce qu'on fait.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Il ne faut que du bon sens pour n'être pas ridicule.
Il faut parfois beaucoup de temps pour comprendre la vérité.
Quand je souffre, je ne puis m'empêcher de dire : S'ils me voyaient, quelle bonne journée pour mes envieux!
La douleur a beau nous montrer qu'elle nous aime, nous, nous ne l'aimons pas.
L'amour-propre, c'est plus que l'amour de soi, c'est l'amour de tout ce qu'on fait.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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