mercredi 29 août 2012
Chemin faisant, page 251
Par Gilles Jobin, mercredi 29 août 2012 :: Barratineries
C'est l'écho qui fait aimer au ruisseau le murmure, à l'homme la plainte; c'est lui qui nous a appris à être indiscrets.
L'homme a besoin de l'homme; c'est la plus vraie des fraternités.
L'impolitesse accuse plus que notre race, elle accuse notre éducation.
À cheval donné, on ne regarde pas la dent, dit le proverbe. Ne donne pas ton livre; laisse à tes amis le soin de l'acheter : ils seront encore plus libres dans leur critique.
La flatterie monte aussi bien par l'escalier de service que par le grand : toute voie lui est bonne.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
L'homme a besoin de l'homme; c'est la plus vraie des fraternités.
L'impolitesse accuse plus que notre race, elle accuse notre éducation.
À cheval donné, on ne regarde pas la dent, dit le proverbe. Ne donne pas ton livre; laisse à tes amis le soin de l'acheter : ils seront encore plus libres dans leur critique.
La flatterie monte aussi bien par l'escalier de service que par le grand : toute voie lui est bonne.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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