De toutes les Paroisses, page 238
Par Gilles Jobin, lundi 29 avril 2013 :: Barratineries :: #1979 :: rss
La paresse mitige la méchanceté ; un méchant paresseux est moins redoutable qu'un autre.
J'aime l'ouverture des grands chemins et les confidences des petits.
Toutes les cendres se ressemblent.
Le gros de l'affaire, c'est de savoir se passer des éloges des autres.
Il y a des vieillards si pleins d'urbanité qu'ils ont l'air de demander à la jeunesse la permission de continuer à vivre.
La vie intérieure nous rend gourmands de nous-mêmes.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
J'aime l'ouverture des grands chemins et les confidences des petits.
Toutes les cendres se ressemblent.
Le gros de l'affaire, c'est de savoir se passer des éloges des autres.
Il y a des vieillards si pleins d'urbanité qu'ils ont l'air de demander à la jeunesse la permission de continuer à vivre.
La vie intérieure nous rend gourmands de nous-mêmes.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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