De toutes les Paroisses, page 221
Par Gilles Jobin, vendredi 12 avril 2013 :: Barratineries :: #1939 :: rss
Comme il est faible, l'homme qui se croit fort!
Les légères amours malheureuses n'ont d'autre pitié que la leur.
Qu'il faut plaindre ceux qui ne sentent pas leur immortalité, qui ne te connaissent pas, mon Dieu, et qui n'ont pas le bonheur d'espérer en Toi !
L'Église, c'est l'union du Temps et de l'Éternité.
Comme la poussière des grandes routes, la vanité est aveuglante.
La joie de la conscience n'est jamais bruyante, elle est discrète, c'est un chant en mineur.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
Les légères amours malheureuses n'ont d'autre pitié que la leur.
Qu'il faut plaindre ceux qui ne sentent pas leur immortalité, qui ne te connaissent pas, mon Dieu, et qui n'ont pas le bonheur d'espérer en Toi !
L'Église, c'est l'union du Temps et de l'Éternité.
Comme la poussière des grandes routes, la vanité est aveuglante.
La joie de la conscience n'est jamais bruyante, elle est discrète, c'est un chant en mineur.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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