De toutes les Paroisses, page 56
Par Gilles Jobin, lundi 29 octobre 2012 :: Barratineries :: #1729 :: rss
L'harmonie de nos goûts avec notre part dans la vie fait la félicité.
Un mari, par mille manières, doit aussi chercher à se rajeunir.
Il faut savoir être la femme d'un artiste, l'encensoir à la main.
Les sots aiment à voir leur femme admirée par tous; les sages en souffrent.
On se dépêche souvent le matin sans que le travail y gagne, pour flânerie soir.
On fuit la pédanterie, comme on fuit les mauvaises odeurs.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
Un mari, par mille manières, doit aussi chercher à se rajeunir.
Il faut savoir être la femme d'un artiste, l'encensoir à la main.
Les sots aiment à voir leur femme admirée par tous; les sages en souffrent.
On se dépêche souvent le matin sans que le travail y gagne, pour flânerie soir.
On fuit la pédanterie, comme on fuit les mauvaises odeurs.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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