Chemin faisant, page 159
Par Gilles Jobin, vendredi 1 juin 2012 :: Barratineries :: #1496 :: rss
Il est plus facile à la beauté d'être généreuse envers la laideur qu'à l'esprit de l'être envers la sottise.
Qu'il faut avoir aimé pour arriver à maudire !
Les gens qui pouvant se défendre se plaignent, sont des lâches !
Un bon serviteur m'édifie au moins autant qu'un bon maître.
Il ne faut pas jouer avec le défi des jeunes ni avec la lassitude des vieux.
Certaines indifférences sont des récompenses ; il faut bûcher ferme pour les mériter.
La crainte protège l'amour, comme la paupière les yeux.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Qu'il faut avoir aimé pour arriver à maudire !
Les gens qui pouvant se défendre se plaignent, sont des lâches !
Un bon serviteur m'édifie au moins autant qu'un bon maître.
Il ne faut pas jouer avec le défi des jeunes ni avec la lassitude des vieux.
Certaines indifférences sont des récompenses ; il faut bûcher ferme pour les mériter.
La crainte protège l'amour, comme la paupière les yeux.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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