De toutes les Paroisses, page 173
Par Gilles Jobin, samedi 23 février 2013 :: Barratineries :: #1880 :: rss
Il doit être humble, celui qui aime à pardonner.
Un regard qui plaint vaut une main qui se tend.
On ne guérit bien que de ce qu'on méprise : ne dorlotez pas votre mélancolie si vous voulez la vaincre.
Tout peut s'accepter avec un grain de tendresse ou de poésie.
On est souvent traqué par la vérité et obligé de lui rendre les armes.
La vraie bonté ne se laisse pas battre; on recommence, elle recommence.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
Un regard qui plaint vaut une main qui se tend.
On ne guérit bien que de ce qu'on méprise : ne dorlotez pas votre mélancolie si vous voulez la vaincre.
Tout peut s'accepter avec un grain de tendresse ou de poésie.
On est souvent traqué par la vérité et obligé de lui rendre les armes.
La vraie bonté ne se laisse pas battre; on recommence, elle recommence.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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