De toutes les Paroisses, page 145
Par Gilles Jobin, samedi 26 janvier 2013 :: Barratineries :: #1842 :: rss
Ce qui nous reste toujours, c'est de nous taire.
Porte bien la vieillesse, il y a pire.
Le génie nous donne l'emportement, que le travail doit équilibrer.
En avril, comme elles sont jolies, les premières feuilles ! elles ressemblent à des fillettes en robes courtes.
On a le regret bien plus long que n'a été le désir.
Il est plus dur que le service militaire, celui du monde.
Un mondain en égratigne toujours un autre.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
Porte bien la vieillesse, il y a pire.
Le génie nous donne l'emportement, que le travail doit équilibrer.
En avril, comme elles sont jolies, les premières feuilles ! elles ressemblent à des fillettes en robes courtes.
On a le regret bien plus long que n'a été le désir.
Il est plus dur que le service militaire, celui du monde.
Un mondain en égratigne toujours un autre.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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