De toutes les Paroisses, page 86
Par Gilles Jobin, mercredi 28 novembre 2012 :: Barratineries :: #1772 :: rss
Tous les grands horizons sont féconds en promesses, tous les grands yeux aussi semblent pleins de richesses.
L'être qui a besoin de se sauver perd facilement sa délicatesse.
Il y a des gens qui ne sont jamais satisfaits : les deux mains pleines, ils en voudraient pouvoir tendre une troisième.
En pensant, il nous semble penser avec tous ceux qui pensent ou qui pensèrent.
La douceur n'est pas toujours de mise.
Comme tu partirais serein si tu savais, jeune mourant, ce que t'aurait demandé la vie!
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
L'être qui a besoin de se sauver perd facilement sa délicatesse.
Il y a des gens qui ne sont jamais satisfaits : les deux mains pleines, ils en voudraient pouvoir tendre une troisième.
En pensant, il nous semble penser avec tous ceux qui pensent ou qui pensèrent.
La douceur n'est pas toujours de mise.
Comme tu partirais serein si tu savais, jeune mourant, ce que t'aurait demandé la vie!
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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