De toutes les Paroisses, page 79
Par Gilles Jobin, mercredi 21 novembre 2012 :: Barratineries :: #1762 :: rss
Las de prose, on est encore plus las de poésie ; elle écoeure comme le sucre.
Toutes les souffrances se reposent sur des yeux de femme.
Que la vie est triste ! On l'entend sangloter certains jours.
Prépare-toi à tout, tu ne seras encore prêt à rien.
N'essayons pas de comprendre l'infini, nous n'en aurions jamais que de la stupeur.
Que le gracieux est donc petit à côté du grand!
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
Toutes les souffrances se reposent sur des yeux de femme.
Que la vie est triste ! On l'entend sangloter certains jours.
Prépare-toi à tout, tu ne seras encore prêt à rien.
N'essayons pas de comprendre l'infini, nous n'en aurions jamais que de la stupeur.
Que le gracieux est donc petit à côté du grand!
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment.
Ajouter un commentaire
Gilles Jobin
Les commentaires pour ce billet sont fermés.