De toutes les Paroisses, page 70
Par Gilles Jobin, lundi 12 novembre 2012 :: Barratineries :: #1746 :: rss
Les flatteurs sont comme les polisseurs du mensonge.
La pruderie est la maladie de la pudeur.
Si elles continuent ainsi, les jeunes filles modernes, c'est elles qui feront l'éducation de leurs maris. O sainte modestie, que tu étais belle sous tes voiles de mousseline !
La veille a de la naïveté, le lendemain a de la science.
L'éducation s'adresse à la plus puissante des puissances, la nature : aussi est-elle souvent vaincue.
Plus l'esprit est étroit, plus la vanité s'y tasse.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
La pruderie est la maladie de la pudeur.
Si elles continuent ainsi, les jeunes filles modernes, c'est elles qui feront l'éducation de leurs maris. O sainte modestie, que tu étais belle sous tes voiles de mousseline !
La veille a de la naïveté, le lendemain a de la science.
L'éducation s'adresse à la plus puissante des puissances, la nature : aussi est-elle souvent vaincue.
Plus l'esprit est étroit, plus la vanité s'y tasse.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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