De toutes les Paroisses, page 205
Par Gilles Jobin, mercredi 27 mars 2013 :: Barratineries :: #1921 :: rss
Il y a des bontés de luxe ; ne craignons pas de temps en temps de les avoir.
Ah! les modestes, comme on les oublie !
Le boudeur n'a jamais fini de digérer.
Dans un mariage, quand l'un apporte l'amour et l'autre l'argent, à la rigueur chacun apporte quelque chose ; il y a pire.
Un homme qui ne sait pas causer avec sa femme appelle l'amant.
L'honnêteté qui ne se fait pas respecter n'est qu'une honnêteté rêvant d'une chute.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
Ah! les modestes, comme on les oublie !
Le boudeur n'a jamais fini de digérer.
Dans un mariage, quand l'un apporte l'amour et l'autre l'argent, à la rigueur chacun apporte quelque chose ; il y a pire.
Un homme qui ne sait pas causer avec sa femme appelle l'amant.
L'honnêteté qui ne se fait pas respecter n'est qu'une honnêteté rêvant d'une chute.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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