Jobineries

Blogue de Gilles G. Jobin, Gatineau, Québec.

lundi 4 mars 2013

2013.9

Échecs

Toutes les informations sur le prochain tournoi des candidats sont ici.

J'ai gagné ma partie de mardi soir. Mais le Tournoi ouvert de Gatineau a été une autre histoire. J'ai joué 4 parties dans l'Open, mais je n'ai pu arracher qu'une seule nulle. J'ai cependant beaucoup appris. D'abord, je réussis vraiment très bien à garder mon calme. Et je ne calcule pas trop mal. Alors, comment expliquer mes 3 défaites ? Ma grande faiblesse, c'est l'ouverture. On dirait que j'arrive à peu près toujours en milieu de partie avec un désavantage. Je dois donc, absolument, étudier cette portion du jeu. Je dois me monter un sérieux répertoire avec les Blancs et le Noirs et apprendre à faire confiance à ma mémoire. Dans les prochaines semaines, je tenterai de me trouver un système d'auto-apprentissage qui sera sans doute basé sur les cartes heuristiques. J'en reparlerai ici !

Weight Watchers

De ce côté là, tout va bien.

Pédagogie

Il faut absolument écouter Mitch Resnick. L'apprentissage de la programmation informatique est le meilleur moyen pour développer une foule de compétences chez les enfants. Je crois sincèrement qu'au secondaire, il faut cesser d'enseigner le français et les mathématiques. À la place, donnons du temps, beaucoup de temps à l'apprentissage de la musique, de la danse, de la programmation informatique, des arts plastiques, de l'éducation physique, des sciences. Il faut que nos jeunes aient du fun à apprendre et à créer !



Greyhound

Linux a eu 9 ans cette semaine. Il est toujours en pleine forme, et il a complètement récupéré de sa patte cassée. Kat, par contre, a une espèce de labyrinthite animale. Elle devrait guérir en 2 semaines.

De toutes les Paroisses, page 182

N'abusons pas du majestueux, il tourne souvent au comique.

La fierté se drape et attende

Un pauvre reconnaissant, ah ! saluons-le trois fois : au nom de sa mémoire, au nom de son coeur et au nom de sa délicatesse.

On aime à chercher la petite tache des plus purs. Pauvre humanité !

En général, la femme déteint plus sur l'homme que l'homme sur la femme.

En style, on se lasse des détours les plus charmants, des images les plus inattendues, des mots les plus friands, des comparaisons les plus heureuses, jamais de la clarté.

Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913