De toutes les Paroisses, page 197
Par Gilles Jobin, mardi 19 mars 2013 :: Barratineries :: #1911 :: rss
Personne ne va plus vite en besogne que la sympathie.
La plus touchante couronne derrière le convoi d'un riche : voir sincèrement pleurer un pauvre.
Si tu veux être pleuré, donne beaucoup : on pleure le bien perdu avant de pleurer le mort.
Âme de plaisirs, âme de soupirs.
Les moments perdus ne sont jamais perdus pour le mal.
Prétendre, c'est toujours exagérer.
Les mots sont timides, à côté des baisers.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
La plus touchante couronne derrière le convoi d'un riche : voir sincèrement pleurer un pauvre.
Si tu veux être pleuré, donne beaucoup : on pleure le bien perdu avant de pleurer le mort.
Âme de plaisirs, âme de soupirs.
Les moments perdus ne sont jamais perdus pour le mal.
Prétendre, c'est toujours exagérer.
Les mots sont timides, à côté des baisers.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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