De toutes les Paroisses, page 192
Par Gilles Jobin, jeudi 14 mars 2013 :: Barratineries :: #1904 :: rss
Il y a des sottises qui sont si générales qu'elles semblent avoir acquis droit de naturalisation.
L'emphase gâte tout par prodigalité.
Le soleil semble toujours pardonner.
Il faut quelquefois une absence pour nous faire apprécier ce que nous avions au logis.
Les désoeuvrés, qu'ils sont lourds aux autres! On leur achèterait des perles pour le plaisir de les voir les enfiler.
On n'a jamais moins de temps de reste que quand on ne pense qu'à soi.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
L'emphase gâte tout par prodigalité.
Le soleil semble toujours pardonner.
Il faut quelquefois une absence pour nous faire apprécier ce que nous avions au logis.
Les désoeuvrés, qu'ils sont lourds aux autres! On leur achèterait des perles pour le plaisir de les voir les enfiler.
On n'a jamais moins de temps de reste que quand on ne pense qu'à soi.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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