Récemmment, j'ai pu expérimenter un TBI. Et je reste sur
mes positions : un ordinateur et un canon suffisent. Et puis, il y a un grand avantage à ces derniers : on peut rester à l'écran pendant qu'un élève fait les manipulations à la souris à l'ordi. Hier, dans une classe EHDAA à Papineauville, je me suis rendu compte que les élèves comprennent encore mieux de cette manière. Je fais mes sparages à l'écran en indiquant avec le doigt où cliquer puis l'élève-aide-prof s'exécute, se trompe, se corrige. Les autres voient les erreurs et ne sont pas portés à les reproduire. Ou, s'ils les répètent, savent comment se corriger.
Le TBI est un bel outil d'enseignant, mais je préfère de loin observer les élèves
manipuler l'ordinateur.
Quelques élèves de l'école Du Boisé de Gatineau
travaillant dans Scratch.