mercredi 12 septembre 2007
Pensée pour moi-même
Par Gilles Jobin, mercredi 12 septembre 2007 :: Briberies
mercredi 12 septembre 2007
Par Gilles Jobin, mercredi 12 septembre 2007 :: Briberies
mardi 11 septembre 2007
Par Gilles Jobin, mardi 11 septembre 2007 :: Généraleries
Par Gilles Jobin, mardi 11 septembre 2007 :: Généraleries
« La question fondamentale est la suivante : " Comment puis-je savoir que mon enfant s'améliore, et comment puis-je lui faire prendre conscience qu'il le fait ? "
La note (ou la cote, c'est identique) est, à cet égard, une immense illusion. On croit que 69 est supérieur à 68. Mais sans savoir toutes les variables amenant à ce résultat, cela relève de la pure spéculation. Un 68 en maths vaut-il la même chose qu'un 68 en français ? Si vous répondez oui à cela, alors j'aimerais bien en voir la preuve ? Et un 68 par le prof x en maths est-il le même 68 par le prof y dans cette même matière ? Croire à cette égalité relève d'une méconnaissance de l'art (!?) d'attribuer des notes...
Pour savoir si votre enfant progresse, et surtout pour lui faire prendre conscience de cette progression, il n'y a qu'un moyen : un dossier d'apprentissage (ou un portfolio, ou un cahier de traces, appelez la chose comme vous voulez) est le moyen idéal. Mais tout le monde s'en fiche, car, il faut bien le dire, prendre le temps d'analyser un portfolio est beaucoup plus long que lire une jolie note.
Pour aider un enfant (qu'il soit en difficulté d'apprentissage ou un génie) il n'y a qu'un seul moyen : prendre le temps d'être avec lui, de comprendre comment il comprend, et de lui laisser son temps pour apprendre, dans un environnement de plaisir, de joie et de communication réelle.
Le reste ne vaut rien. »
Par Gilles Jobin, mardi 11 septembre 2007 :: Linuxeries
vendredi 7 septembre 2007
Par Gilles Jobin, vendredi 7 septembre 2007 :: Livrogneries
Par Gilles Jobin, vendredi 7 septembre 2007 :: Énigmeries
samedi 1 septembre 2007
Par Gilles Jobin, samedi 1 septembre 2007 :: Ouaibineries
Taleb (l'auteur du livre) ne cesse de donner des raisons, souvent mathématiques, pour ne plus s’informer mais préférer se cultiver.