[...] la tâche essentielle que doit se fixer une éducation c’est de lutter contre la légèreté d’esprit, contre l’orgueil, contre la paresse, contre les dogmatismes, quels qu’ils soient. L’œuvre capitale, mais difficile, consiste à s’efforcer de faire des esprits libres, capables de ne recevoir « aucune chose pour vraie qu’ils ne la connussent évidemment être telle » et scrupuleux en fait de preuves.
Jules Payot dans La faillite de l'enseignement, 1937. Un extrait ici.

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