samedi 2 juin 2012
Chemin faisant, page 160
Par Gilles Jobin, samedi 2 juin 2012 :: Barratineries
Il faut être plus indépendant de fond que de forme.
Le bruit des feuilles mortes, quelle douce mélodie !
J'étais heureuse quand je croyais à tous les yeux qui pleurent. O vie, pourquoi m'as-tu enlevé cette félicité!
Vigoureusement aimer, c'est vigoureusement vivre.
Croyez-moi, mes amies, n'invitez personne à votre enterrement : on en trouvera la morte plus charmante; on vous saura gré de cette attention.
Supporte ce que tu dois, aime qui tu peux.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Le bruit des feuilles mortes, quelle douce mélodie !
J'étais heureuse quand je croyais à tous les yeux qui pleurent. O vie, pourquoi m'as-tu enlevé cette félicité!
Vigoureusement aimer, c'est vigoureusement vivre.
Croyez-moi, mes amies, n'invitez personne à votre enterrement : on en trouvera la morte plus charmante; on vous saura gré de cette attention.
Supporte ce que tu dois, aime qui tu peux.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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