Providence
Croyez à une loi suprême de raison et d'amour qui embrasse ce monde et l'explique.
Renan Note du transcripteur.Discours lors de la distribution des prix du lycée Louis-Le-Grand, 7 août 1883.
Aux petits des oiseaux il donne la pâture
Et sa bonté s'étend sur toute la nature.
Racine Athalie
Note du transcripteur.Acte 2. sc. 7 (Joas).
Citation exacte :
Dieu laissa-t-il jamais ses enfants an besoin?
Aux petits des oiseaux il donne leur pâture,
Et sa bonté s'étend sur toute la nature.
Tons les jours je l'invoque; et d'un soin paternel
1l me nourrit des dons offerts sur son autel.
Petit poisson deviendra grand,
Pourvu que Dieu lui prête vie.
La Fontaine Note du transcripteur.Le Petit Poisson et le Pêcheur.
Comme il fait bon sous mon toit de chaume, pendant qu'il grêle! O Dieu, que je vous aime pendant qu'on vous discute.
Aug. Cochin Note du transcripteur.Référence non trouvée.
L'atome lui-même est un produit manufacturé qui porte sa marque de fabrique divine.
Maeterlinck Note du transcripteur.Référence non trouvée.
Dieu fait bien ce qu'il fait. Sans en chercher la preuve
En tout cet univers, et l'aller parcourant,
Dans les citrouilles je la treuve.
La Fontaine Le Gland et la Citrouille
Note du transcripteur.«Treuve» pour «trouve», archaïsme alors peu usité. Autrefois, tout verbe ayant à l'infinitif la diphtongue ou la changeait en eu à l'indicatif : mouvoir, je meuve; couvrir, je ceuvre, etc. (F. Colincamp)
Dieu me donne le froid selon ma robe.
Montaigne Note du transcripteur.Liv. 3, chap. 6.
«Dieu me donne le froid selon la robe, & me donne les passions selon le moyen que i'ay de les soustenir. »
Dieu mesure le froid à la brebis tondue.
H. Estienne Note du transcripteur.Henry Estienne, Prémices, 1593.
Un cheval peut-il connaître les affaires de son maître et expliquer ses intentions? Et nous nous mêlons de juger les desseins de Dieu!
Lejeune Note du transcripteur.Référence non trouvée.
Dans la nuit noire, sur un marbre noir, la fourmi noire, Dieu la voit.
Proverbe arabe
Note du transcripteur.
Dieu sait pourquoi il n'a pas fait les cinq doigts semblables.
Note du transcripteur.Référence non trouvée.
Étienne Blanchard, Recueil d'idées, 1928, 1929, 1941, 1947. Voir le premier billet.