Jobineries

Blogue de Gilles G. Jobin, Gatineau, Québec.

dimanche 27 octobre 2013

2013.43

Oncle Guy

Tristesse. Décès de mon oncle Guy, 91 ans. J'ai retrouvé sur le site des vétérans du Canada quelques uns de ses textes.

Aux funérailles, j'ai pu discuter avec mes oncles et tantes : les Jobin, c'est vraiment du monde extraordinaire.

Éducation des adultes

C'est moi qui souligne au milieu du paragraphe :
« En revanche, le nombre de directeurs d'école a reculé à cause des fusions d'établissements. On compte 50 directeurs de moins, mais 35 directeurs adjoints de plus. Pour l'éducation des adultes, des centres qui gèrent leurs budgets sans trop de contrôle de la part des commissions scolaires, on observe une croissance de 17% du nombre de directeurs adjoints, 57 individus ont eu une promotion. »
La Presse, 20 oct.

Un frère chasseur qui sait

Même si l’ours blanc est désigné « espèce préoccupante » sur la liste canadienne des espèces en péril, la ministre de l’Environnement, Leona Aglukkaq, ne s’inquiète pas pour la population. Selon elle, l’espèce se porterait en fait plutôt bien.
« Souvent, les scientifiques jettent leur dévolu sur la faune et la flore du Nord pour démontrer que le changement climatique est en marche et que les ours polaires vont disparaître et je ne sais quoi, a-t-elle affirmé au Globe and Mail. Mais les gens sur le terrain vous diront que la population d’ours polaires est en bonne santé. Vous savez, dans ces régions, elle a en fait augmenté. »
« Mon frère est un chasseur qui vous dira que la population d’ours a augmenté et que les scientifiques ont tort », a ajouté la ministre conservatrice à la veille de la première rencontre du Conseil de l’Arctique depuis que le Canada en a pris la présidence, en mai. Le gouvernement entend d’ailleurs profiter de sa position pour « stimuler le développement économique » de cette région de plus en plus fragilisée par les changements climatiques.
Le Devoir

Baudelaire

« Les sanglots des martyrs et des suppliciés
Sont une symphonie enivrante sans doute,
Puisque, malgré le sang que leur volupté coûte,
Les cieux ne s’en sont point encore rassasiés.»
Charles Baudelaire, Les fleurs du Mal.

Échecs

Sur Matoutaouais, Gilles Groleau analyse notre nulle de mardi soir.

TV

Walking Dead est toujours une aussi bonne série.

Je trouve aussi que 100% humain est de l'excellente science-fiction.

lundi 21 octobre 2013

2013.42

Sur le web «And yet the dominant model of public education is still fundamentally rooted in the industrial revolution that spawned it, when workplaces valued punctuality, regularity, attention, and silence above all else. (In 1899, William T. Harris, the US commissioner of education, celebrated the fact that US schools had developed the “appearance of a machine,” one that teaches the student “to behave in an orderly manner, to stay in his own place, and not get in the way of others.”) We don’t openly profess those values nowadays, but our educational system—which routinely tests kids on their ability to recall information and demonstrate mastery of a narrow set of skills—doubles down on the view that students are material to be processed, programmed, and quality-tested. School administrators prepare curriculum standards and “pacing guides” that tell teachers what to teach each day. Legions of managers supervise everything that happens in the classroom; in 2010 only 50 percent of public school staff members in the US were teachers.»
http://www.wired.com/business/2013/10/free-thinkers/all

* * *


[...] L'État, par son organisme de perception fiscal, avantage clairement la religion, au détriment de la laïcité.
http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/francis-vailles/201309/18/01-4690443-le-fisc-nest-pas-laique.php



La réussite par les échecs

J'ai rencontré un premier groupe mardi dernier. Ma première leçon (1 heure) est simple :
  • Montrer comment on pose l'échiquier sur la table (case blanche dans le coin inférieur droit)
  • Identifier les pièces. Ex. On dit DAME et non pas REINE. On dit CAVALIER et non pas cheval ou chevalier.
  • Montrer le fonctionnement des pions.
    • Un pion ne peut avancer que d'une case à la fois (voir l'exception un peu plus bas). À l'inverse des autres pièces, Il ne peut JAMAIS reculer.
    • Il faut imaginer un pion comme un soldat qui, dans chaque main a un poignard. Ces poignards peuvent tuer (au échecs on dit prendre) une pièce qui se trouve immédiatement à l'avant-droite ou à l'avant-gauche.
    • Le pion avance d'une case directement en avant de lui si cette case est libre.
    • Un pion a une grande ambition : arriver à la dernière traverse (ou rangée) pour se transformer soit en Tour, en Cavalier, en Fou ou en Dame.
    • Le pion, de sa case de départ, peut S'IL DE DÉSIRE, avancer non pas seulement d'une case, mais bien de deux cases. C'est un peu comme le soldat qui part bravement à la guerre en se donnant une dose de courage.
    • J'explique aussi la règle de la prise en passant.
    • Par la suite, les élèves jouent au jeu des pions : cela consiste à mettre les pions sur leurs cases de départ. Le premier joueur qui rend un pion «au bout» gagne la partie. Ce jeu simplifié permet de s'assurer que les élèves ont bien compris les règles des pions.
  • J'enseigne ensuite comment bouge le Roi, le sens du mot «échec!», ce qu'on entend par «échec et mat». J'indique la règle que le ROI ne doit JAMAIS «se mettre en échec».
  • Puis on rejoue ensuite la partie des pions (l'objectif étant toujours de rendre un pion à l'autre bout de l'échiquier) mais en ajoutant cette fois les Rois.
Quelques observations.

En utilisant tableau démonstrateur, rapidement, les élèves qui répondent mes questions me lancent des choses comme : «Oui, vous pouvez prendre le pion qui est juste là devant...» C'est ici que j'introduis codification des rangées et des colonnes. Les élèves peuvent ensuite me «parler échecs» par exemple : «Le pion sur e4 peut prendre le pion sur d5.»

Le jeu des pions (sans les Rois) est très important. Les élèves découvrent la puissance d'un pion passé, le fait que parfois il vaut mieux ne pas prendre, qu'un pion peut «bloquer». Ils apprennent aussi à calculer «qui va arriver en premier» si l'adversaire a aussi un pion passé, etc.

Les jeu des pions avec les Rois est vraiment intéressant. Encore là, les élèves font des découvertes importantes : un Roi doit être amené dans le jeu rapidement pour pouvoir menacer les pions adverses, la notion d'opposition, comment un Roi peut protéger un pion qui veut atteindre la 8e traverse, etc.

À la fin du cours, une élève m'a demandé : « Monsieur, avez-vous des sites web à me donner en référence ? » Voilà ce qu'est la nouvelle génération !

Grossière erreur

Voyez l'image ci-dessous qui illustre l'époque où l'on pouvait fumer dans les tournois d'échecs. On y trouve une erreur grossière, souvent répétée d'ailleurs dans des publicités qui utilisent le jeu d'échecs. En effet, la case inférieure droite n'est pas blanche !


National Capital Open

En fin de semaine, j'ai participé au tournoi susmentionné à Ottawa. J'étais dans la section des moins de 2100, et j'ai terminé avec une défaite et 4 nulles. Petite consolation : en première ronde, j'ai annulé contre l'éventuel gagnant, qui, d'ailleurs a remporté toutes ses autres parties.

dimanche 13 octobre 2013

2013.41

Mauvaise didactique


Voyez d'abord la vidéo suivante. Mais prenez ensuite bien le temps de lire ma critique.



Il faut vraiment faire attention avec ce qu'on trouve sur le web, surtout, peut-être, si cela semble bien fait.

Dans cette vidéo, l'auteur suggère que la priorité des opération est erronée.

D'abord, une erreur est de ne pas avoir mentionné que les opérations ont différents niveaux et qu'à chaque niveau, on doit procéder de la gauche à droite. Seconde erreur (majeure celle-là) est de nous dire qu'en réalité une soustraction est une addition d'un opposé et qu'une division est une multiplication d'un inverse.

Je commence par vous expliquer comment je procédais avec mes élèves pour introduire la priorité des opérations.

J'écrivais au tableau la chaîne suivante : 2 + 3 x 5.

Puis, je leur demandais de calculer le résultat à l'aide de leur calculatrice.

J'avais toujours 2 réponses : 25 et 17, car plusieurs élèves avaient une calculatrice genre «gratuite à l'achat du magazine.»

- Mais Monsieur, ma calculatrice ne peut pas se tromper !

Et ils recommençaient leur pitonnage. Toujours le même résultat. Cela nous permettait d'engager un dialogue sur l'importance de «s'entendre» en mathématique. (Pour les fervents du programme de formation de l'école québécoise, on est ici en compétence 3 : communiquer à l'aide du langage mathématique.)

Puis on établissait l'utilité de règles admises par toute la planète.

·Si on a des additions et des soustractions, on doit les exécuter de gauche à droite.
·Si on a des multiplication est des soustractions, on doit les exécuter de gauche à droite.

- Mais Monsieur, dans votre exemple il a une addition et une multiplication.
- Hé, hé... On s'est entendu, universellement, par commencer avec les multiplications et les divisions (de gauche à droite!). Les calculatrices qui vous donne 17 comme réponse ont compris cette convention. Les autres calculatrices n'ont pas cette convention dans leur micro-chip.
Et j'ajoutais.
- Cependant, dans une telle chaîne, il est possible qu'on veuille FORCER une opération avant une autre. Dans ce cas, on utilise des parenthèses. Par exemple : (2 + 3) x 5. Cela nous indique qu'il faut d'abord réaliser l'addition.

Puis très très rapidement, je compliquais les chaînes en ajoutant des parenthèses à l'intérieur d'autres parenthèses, etc. On se trouve vraiment ici au niveau d'une compétence de communication.

Didactiquement parlant, à mon avis, la deuxième erreur est beaucoup plus grave.

En effet, l'auteur suggère que 4 - 1 est en réalité 4 + (-1).

On va peut-être m'accuser de m'enfarger dans les fleurs du tapis. En effet, certains diront que «c'est la même chose.» Je ne suis absolument pas d'accord.

Si j'ai 4 crayons et qu'on m'en enlève 1, l'opération à écrire est bel et bien 4 - 1. Nous sommes ici dans le contexte des nombres naturels. Pourquoi voudrais-je faire croire à un enfant que soustraire un crayon c'est comme ajouter un «anti-crayon» ? J'y trouve ici tout ce que j'exècre au plus haut point dans la pédagogie de certains profs de maths: l'explication par la magie.

Or, si j'en crois cette vidéo, pour expliquer à un enfant comment exécuter la chaîne suivante : 10 - 5 + 4, je devrai lui faire croire qu'il faut d'abord la transformer en 10 + (-5) + 4 alors qu'il n'a aucune espèce d'idée de ce que peut bien représenter ce (-5). Magie, quand tu nous tiens...

Pourtant ne serait-ce pas là une formidable occasion de lui demander de préciser sa pensée et de nous la communiquer par écrit ?

- Cher élève, veux-tu d'abord que j'additionne 4 à 5 puis que je soustrais le tout de 10, ou désires-tu plutôt que j'additionne 4 après voir soustrait 5 de 10 ? Pourquoi passer à côté d'une telle occasion de «communiquer mathématique » ? L'écriture symbolique communique une idée, voilà un apprentissage important à faire réaliser chez nos élèves.

Certains me lanceront sans doute :

- Oui, mais au secondaire, il «faut» qu'ils comprennent que soustraire, c'est additionner l'opposé dans un contexte où les nombres sont «au moins» des entiers.

FAUX !

Plusieurs fois, j'ai bien expliqué que la soustraction existe bel et bien chez les entiers de la même manière qu'elle existe bel et bien chez les nombres naturels. Je réfère mes lecteurs à mes billets ici, ici (en classe!) et .

Au secondaire, il faut que l'élève «découvre» que «mécaniquement» ça donne le même résultat. Mais ça doit demeurer une découverte et non une loi magique et incompréhensible.

L'auteur parle aussi de la distributivité, l'amenant encore une fois comme un truc. Pour ceux qui voudraient l'aborder dans un contexte pédagogique, je vous réfère à mon billet.

Ma conclusion : pédagogiquement et didactiquement, il faut donc éviter cette vidéo.

Citation


Nous avons tué chez l'enfant la vitalité des tendances individuelles fondamentales et par conséquent la fierté et la joie du travail qui en est comme l'épanouissement naturel. Aussi avons-nous dû remplacer cette récompense intime par tout un système de mobiles étrangers, par des notes, des punitions, des éloges, des classements par ordre de mérite, des prix, etc.
Ces mobiles n'agissent que sur les premiers de la classe. Le reste de la classe reste indifférent.
Jules Payot, La faillite de l'enseignement, p.250, Librairie Félix Alcan, 1937.

Réflexions


Les TIC dans les écoles, on veut bien, mais à la condition que ça ne change rien à notre pédagogie et à la bonne vieille didactique classique. C'est cette dernière qui contrôle comment l'élève apprend.

Kat


À la marche quotidienne, Kat a eu un épisode : tout à coup, elle s'est mise à trembler, ses pattes avant sans coordination, le dos s'arquant. Cela a duré une ou deux minutes. Je l'ai entouré de mes bras. Elle tremblait, tremblait.

Après une dizaine de minutes, elle était calme et, très lentement, nous avons repris la marche. Je suis arrêté faire rendez-vous chez la vétérinaire.

Quelques heures plus tard, elle l'a examinée. Son coeur, ses oreilles, ses yeux. Tâtements ici, tâtements là. Pas de fièvre. Pas d'infection évidente.

Et la vétérinaire m'a parlé d'une tumeur possible au cerveau.

-C'était peut-être aussi un mini AVC.
-Mais vous n'y croyez pas beaucoup n'est-ce pas ?
-C'est très rare un AVC.
Soupir.
- Il est possible de faire une résonance magnétique sur l'animal. C'est environ 1000$.
- ...
- Ça permettrait juste de savoir d'une façon certaine.
- ...
- C'est peut-être aussi de l'épilepsie. Auquel cas, on peut traiter avec des médicaments.

Tout le non-verbal de la vétérinaire indiquait qu'encore une fois, elle ne croyait pas trop à cette dernière hypothèse.

- On peut aussi faire une prise de sang, pour éliminer des possibilités au niveau des reins, du foie, etc.
- Que feriez-vous à ma place ?
- J'attendrais de voir. De voir si ça se reproduit, et à quelle fréquence. Si c'est possible, prenez une vidéo et venez me la montrer.

J'ai quitté la clinique avec une Kat bien contente de retourner à la maison.

Et moi, je peinais avec cette idée de cancer du cerveau.

Musique


J'ai assisté cette semaine au concert d'Angèle Dubeau et La Piéta à la Maison de la Culture de Gatineau. Si ma vie était à reprendre, je deviendrais musicien.

* * *


J'ai un énorme faible pour les Ave Maria et les Stabat Mater.



L'interprétation de Sumi Jo m'arrache les larmes. Écoutez :

dimanche 6 octobre 2013

2013.40

Karsentic

Les 20 recommandations pour effectuer un virage vers l'ère numérique à l'école de Thierry Karsenti sont ici. (Merci Mme Galuga.)

Bien sûr, on ne peut pas être contre la vertu. Ayant travaillé de longues années dans le monde des TIC scolaires, j'ai développé une vision plutôt pessimiste au regard d'une intégration des TIC qui respecterait la vision des pédagogues.

J'étais là en 1995 quand Mme Marois a lancé son fameux plan pour équiper les écoles qui présentaient des projets TIC pédagogiques. On est près de 20 ans plus tard, et les enseignants se plaignent du manque d'accès et du control-freak des services informatiques.

Les 20 recommandations sont bien belles, mais revenez ici dans un an ou deux, et je suppose qu'aucune n'aura été suivie. Pourquoi ? Tout simplement parce que l'informatique scolaire, à part une minorité qui «savent» que les élèves apprennent beaucoup mieux avec, les autres ont soit une vague croyance dans son potentiel éducatif, soit une indifférence tenace qui les empêche d'apprendre par eux-mêmes.

Un ordinateur, qu'on le veuille ou non, est un nid à problèmes. Or les enseignants, les directeurs d'école et les services pédagogiques ne sont pas prêts à assumer ces problèmes. D'où cette espèce de délégation de pouvoirs aux Services informatiques.

Je n'aurais donc que deux recommandations à formuler si on veut un changement rapide et efficace (ce dont je doute.)

1- Que les services pédagogiques des CS deviennent imputables au regard de l'intégration des technologies dans les écoles ;
2- Au secondaire, que les écoles stipulent dans ses normes et modalités d'évaluation des apprentissages que les élèves ont droit en tout temps (en salle de classe et même lors des examens) à leurs outils informatiques (téléphones, ordinateurs, tablettes, etc.) Ces normes et modalités se doivent d'être acceptées par tous les intervenants de l'école. Ainsi, on aurait tout au moins une vision commune !

Ces deux recommandations simples impliquent les gens du terrain.

J'ai suggéré la première il y a déjà plusieurs années. Travaillant aux services pédagogiques, je voulais qu'on récupère tous les budgets impliquant les TIC scolaires. Quand j'ai proposé la chose, en pleine réunion, on m'a regardé, amusés... et on est passé au point suivant à l'ordre du jour.

Quant à ma deuxième recommandation, Elle ne risque pas de passer. Pourquoi ? Tout simplement parce que ça fait peur à 95% des intervenants scolaires. La plupart des gens veulent bien «croire» en l'importance des TIC, mais tout de même pas au point de laisser les élèves les utiliser en tout temps ! Surtout au niveau secondaire, là où les enseignants tiennent au parfait contrôle de la matière enseignée.

Si vous lisez ce billet - et si vous voulez rire un peu, quoique ce ne soit vraiment pas drôle... - , lors de votre prochaine rencontre d'équipe, suggérez la recommandation deux. Vous constaterez que nous sommes encore dans une mentalité du 19e siècle dans nos écoles secondaires et dans nos universités.

Et vous comprendrez mon pessimisme.

La politique et la religion

Je n'en démords pas : il faut demander aux politiciens s'ils croient ou non au Dieu catholique. S'ils répondent « Désolé Monsieur, ça ne vous regarde pas, et c'est du domaine privé », alors, c'est clair : il faut enlever le crucifix et les signes religieux de l'Assemblée nationale et du parlement.

Je pense aussi qu'il faut enlever tous privilèges fiscaux aux organismes religieux.

DWTS

Certaines personnes ont toujours l'air de mauvaise humeur, même quand elles sourient. C'est le cas de Nicole «Snooki» Polizzi dans cette saison de Dancing with the Stars.

La lecture

Vu passer dans un tweet : «Children that read for fun are better at maths.»

En fait, les enfants qui lisent pour leur plaisir sont meilleurs à l'école, point. C'est absolument évident, car tout à l'école passe par la lecture. Et celui qui n'aime pas lire part sérieusement désavantagé.

Le «dessein intelligent»



Échecs

Quatrième et dernière ronde du tournoi des bénévoles. Encore une partie que j'aurais dû gagner. Je l'ai analysée sur Matoutaouais.org.

Mais j'ai au moins gagné mes deux parties (semi-rapides) de vendredi au Club d'échecs d'Aylmer.