jeudi 23 février 2012
23 février
Par Gilles Jobin, jeudi 23 février 2012 :: Quotidienneries
Bernard Arcand, Le mensonge, p.89, De la fin du mâle, de l'emballage et autres lieux communs, Éd. Boréal.
jeudi 23 février 2012
Par Gilles Jobin, jeudi 23 février 2012 :: Quotidienneries
mercredi 22 février 2012
Par Gilles Jobin, mercredi 22 février 2012 :: Quotidienneries
mardi 21 février 2012
Par Gilles Jobin, mardi 21 février 2012 :: Quotidienneries
dimanche 19 février 2012
Par Gilles Jobin, dimanche 19 février 2012 :: Quotidienneries
samedi 18 février 2012
Par Gilles Jobin, samedi 18 février 2012 :: Quotidienneries
vendredi 17 février 2012
Par Gilles Jobin, vendredi 17 février 2012 :: Quotidienneries
Je pense qu'on oublie un élément important : la posture pédagogique.
En effet, si on croit que l'enseignant détient une certaine connaissance et que c'est à lui de la transmettre, alors un bon livre de référence (numérique ou pas) devient nécessaire pour ne pas perdre un temps ridicule à prendre des notes pendant que le prof nous déverse «la» connaissance.
Mais si on croit plutôt que l'enseignant doit être dégagé d'enseigner des connaissances, alors là plusieurs ressources doivent être suggérées à l'élève pour qu'il puisse les acquérir, ces connaissances. Je suppose que dans ce contexte, un «bon» prof serait capable de détecter des ressources facilitantes (et pas nécessairement les mêmes) pour chacun de ses élèves. Cette posture pédagogique particulière en fait titiller plus d'un. J'ai écrit un petit billet à cet égard. C'est ici.
Stéphane mentionne aussi le côté «social» de l'apprentissage. Je suis d'accord avec lui en nuançant cependant que social n'est pas équivalent à «dans une salle de classe». On apprend beaucoup via les réseaux sociaux aujourd'hui, et, physiquement parlant, y'a plein de gens que je ne n'ai jamais rencontrés de ma vie et qui m'ont drôlement aidé à mieux comprendre certains phénomènes.
Dans le billet original, Patrick mentionne des supports genre Ipad ou autres. J'avoue que ces considérations, sans doute importantes, me laissent maintenant froid. J'ai passé plusieurs années sous Windows, puis une autre dizaine sur Linux, et me voilà sur Mac. Je pourrais discourir longtemps sur les bénéfices des uns et des autres. Mais je pense qu'il faut laisser le choix aux gens.
J'utilise un Ipad depuis plusieurs mois maintenant, mais principalement pour lire. Je pense que je saurais bien utiliser cette technologie si j'étais en salle de classe. Par ex : filmer les séquences d'apprentissage des élèves, garder des traces vidéo ou sonores dans un portfolio, créer des oeuvres littéraires, artistiques, etc. Mais j'avoue que pour développer, je ne me passerais pas de mon ordinateur.
Le problème, il est toujours le même, on ne propose que ce qu'on connaît. Si on aime les tablettes, hop, on en veut ! Si on aime Word, hop, on le propose, etc.
Il est tellement difficile, aujourd'hui, de «tout» savoir, et surtout, de savoir ce qu'on veut savoir... Nous sommes entourés de stimuli qui ne sont pas nécessairement stimulants pour tous !
Quoi qu'il en soit, le livre scolaire format papier va disparaître. Les exemples disponibles sur IBook démontrent bien ce fait, à mon avis.
Stéphane, cela fait maintenant 2 ans que je suis passé sur un MacBook Pro. J'en reparlerai peut-être un jour... :-)
Je ne dis pas que l'enseignant n'explique plus ; je dis simplement qu'il n'enseigne plus les connaissances ! Mais si un élève, pour une raison ou une autre se trouve en «trouble» devant ce qu'il apprend (par ses lectures, des vidéos, des échanges avec les autres, etc.) alors l'enseignant lui «explique». C'est le modèle d'enseignement individualisé tel qu'on le vit à l'éducation des Adultes que je propose.
Par ailleurs, pourquoi vouloir avancer rapidement ??? Quelqu'un a dit :« Pour apprendre vite, étudiez lentement» et je suis de cet avis. La vitesse et l'efficacité dans l'apprentissage, ce n'est pas important, à mon sens. Cela revient à comprendre la culture du bogue (par opposition à la culture de l'erreur) : pour apprendre, il faut des bogues et la possibilité de modifier le projet suite à ces bogues. C'est complètement différent de l'approche : Voici la bonne méthode pour factoriser des trinômes ; ainsi, tu ne feras plus d'erreurs.
Pour ce qui est du wiki, je ne crois pas du tout que c'est du travail partagé «à l'ancienne.» Rien qu'à voir la physionomie des gens à qui je propose l'outil pour un travail collaboratif, on sent la différence. Lorsque je leur dis qu'on peut (et en fait on «doit») modifier le texte écrit par un autre, ils ressentent un profond malaise. Ils ont peur d'offusquer l'auteur original. Ils ne comprennent pas le principe d'une écriture COMMUNE pour ESPÉRER améliorer un produit. C'est beaucoup plus que du «tu fais ta part, je fais la mienne, et on collera tout ça ensemble après.»
Mais, il faut bien l'avouer, les wikis ne pognent pas fort. (Tout comme ton KF d'ailleurs !) Pourquoi ? Parce que l'approche collaborative n'est pas dans notre culture. On préfère l'approche compétitive : Écris un texte, j'en écris un aussi, et on votera pour le meilleur. Ou encore, écris une note, je vais l'évaluer et te dire ce qu'il faut que tu modifies. Construire ensemble, ce n'est vraiment pas dans l'esprit de la masse !
Je crois que l'écriture commune d'un texte pédagogique pourrait nous faire du bien. Commençons avec ceux qui sont déjà dans ce mode de pensée, et attendons patiemment que d'autres suivent. Que voulez-vous ? il faut bien une ou deux locomotives pour tirer des wagons potentiels.
J'apprécie la nuance apprendre rapidement vs plus rapidement. Car dans cette dernière, on sent le respect de l'individu. Le «plus rapidement» signifiant sans doute «plus rapidement que s'il était seul.» Pourtant, la classe traditionnelle me laisse un arrière-goût contraire : l'élève y est souvent ralenti par le groupe. Pour moi, le socio-apprentissage passe beaucoup plus par mes choix (variés) de ressources que par les personnes qui les créent. Mais si je «bloque» en acquérant certaines connaissances, alors les personnes auxquelles je m'adresse sont plus importantes que ce qu'elles «savent». Je cherche l'humain-pédagogue qui me fera prendre conscience de mon blocage et me donnera DES moyens pour le surpasser.
jeudi 16 février 2012
Par Gilles Jobin, jeudi 16 février 2012 :: Quotidienneries
mercredi 15 février 2012
Par Gilles Jobin, mercredi 15 février 2012 :: Quotidienneries
mardi 14 février 2012
Par Gilles Jobin, mardi 14 février 2012 :: Quotidienneries
lundi 13 février 2012
Par Gilles Jobin, lundi 13 février 2012 :: Quotidienneries
Ici, on compare FLASH, HTML5, DOM et CSS3. C'est impressionnant.
Google et son équation de l'amour :
Le rendu des mêmes équations chez Wolfram Alpha :
Curieux, ces gens qui demandent qu'on se mette à leur place alors qu'elle est déjà occupée !
Grégoire Lacroix (Les Euphorismes de Grégoire (483), p.71, Max Milo, 2006)
samedi 11 février 2012
Par Gilles Jobin, samedi 11 février 2012 :: Quotidienneries
vendredi 10 février 2012
Par Gilles Jobin, vendredi 10 février 2012 :: Quotidienneries