vendredi 17 juin 2005
PolitiBlogue
Par Gilles Jobin, vendredi 17 juin 2005 :: Généraleries
vendredi 17 juin 2005
Par Gilles Jobin, vendredi 17 juin 2005 :: Généraleries
Par Gilles Jobin, vendredi 17 juin 2005 :: Généraleries
samedi 11 juin 2005
Par Gilles Jobin, samedi 11 juin 2005 :: Généraleries
lundi 6 juin 2005
Par Gilles Jobin, lundi 6 juin 2005 :: Généraleries
samedi 21 mai 2005
Par Gilles Jobin, samedi 21 mai 2005 :: Généraleries
The basic tenets of bricolage as a methodology for intellectual activity are: Use what you’ve got, improvise, make do. [...] Here I use the concept of bricolage to serve as a source of ideas and models for improving the skill of making – and fixing and improving – mental constructions (op. cit.: 144).Ainsi, dans la ligne des partisans du constructivisme, Papert estime que le plus important dans l’apprentissage est de fournir à l’apprenant les outils pour construire son savoir. À la limite, peu importe l’outil, peu importe la méthode, pourvu que « ça marche ». Dans cette perspective du bricolage, l’ordinateur apparaît comme un outil idéal d’exploration du monde et d’appropriation de savoir :
[...] the computer, simply but very significantly, enlarges the range of opportunities to engage as a bricoleur or bricoleuse in activities with scientific and mathematical content (idem: 145).
dimanche 15 mai 2005
Par Gilles Jobin, dimanche 15 mai 2005 :: Généraleries
vendredi 13 mai 2005
Par Gilles Jobin, vendredi 13 mai 2005 :: Généraleries
«Le modèle actuel de la Société GRICS permet d’assurer, à la fois, le financement de la réalisation des produits et de celui des services qui y sont associés. Qu’arriverait-il si la Société GRICS modifiait son modèle pour ne facturer que ses services ? Elle devrait trouver des sources de revenus alternatives, pour financer le coût de développement, d’entretien et d’amélioration de ses produits. Dans le monde du logiciel libre, ce financement provient de subventions, de fonds versés par des fondations ou des contributions de la communauté. Mais, qui fournirait les subventions qui seraient requises (comme dans le projet Mille), quelles fondations viendraient supporter le développement de logiciels libres en éducation, quelles communautés viendraient contribuer aux développements spécifiques attendus par les commissions scolaires du Québec ? Et, comment pourrait-on garantir la pérennité des produits et des services ?Rêvons un peu, à partir d'un exemple concret, ce qui pourrait se passer. Prenons trois productions libres développées par une très petite commission scolaire de l'Outaouais : le Bulletin informatisé (alternative libre au bulletin livré avec GPI), le Cyberfolio (portfolio électronique) et le CyberPif (Plan individuel de formation électronique attaché au concept de l'approche orientante).
Sans des réponses précises et concrètes à ces questions, on ne peut absolument pas juger des avantages supplémentaires que les commissions scolaires pourraient éventuellement tirer d’un tel changement.
Par contre, on peut affirmer, sans risque d’erreurs, que la très grande majorité des commissions scolaires du Québec n’ont pas les ressources pour contribuer à des développements en logiciels libres. Et, il est loin d’être acquis qu’une Société GRICS ou toute autre entreprise, qui s’appuierait sur des subventions, gagnerait en efficacité, pourrait garantir la pérennité et livrerait plus de valeur à l’ensemble des commissions scolaires du Québec.»
Bernard Létourneau (PDG de la Société GRICS) et Robert Saumur (Président CA de la Société GRICS)
dimanche 8 mai 2005
Par Gilles Jobin, dimanche 8 mai 2005 :: Généraleries
Après plus de huit heures de négociations, le premier ministre de l'Ontario Dalton McGiunty a obtenu de son homologue fédéral Paul Martin 5,75 milliards $ sur cinq ans, pour combler l'écart fiscal dont la province se dit victime.Admirable, ce huit heures pour arriver à une entente de plusieurs milliards. Explications possibles :
samedi 7 mai 2005
Par Gilles Jobin, samedi 7 mai 2005 :: Généraleries
dimanche 1 mai 2005
Par Gilles Jobin, dimanche 1 mai 2005 :: Généraleries
samedi 30 avril 2005
Par Gilles Jobin, samedi 30 avril 2005 :: Généraleries
jeudi 28 avril 2005
Par Gilles Jobin, jeudi 28 avril 2005 :: Généraleries
Pour qui diable cette société se prend-elle ? Je n'aime pas qu'une société privée vienne me dire quelles activités on ne doit pas faire! Cela ne la regarde absolument pas. Et, comme pédagogue, je trouve ça insultant. Ce paragraphe me fait comprendre maintenant pourquoi elle bloque systématiquement les initiatives de développement de logiciels libres dans certaines CS ou dans certaines régions car elle considère que c'est à elle de faire de la recherche et développement et non aux pédagogues.« La Société GRICS offre aux gestionnaires et aux utilisateurs la tranquillité d’esprit requise pour leur permettre de consacrer leurs énergies à la mission principale de leur organisation et non aux activités de recherche, d’adaptation, d’entretien, de mise à jour, de soutien d’un outil informatique.
La Société GRICS appuie l’orientation des logiciels libres et aide les commissions scolaires à le faire. Encore faut-il savoir choisir les produits qui généreront des économies réelles. Avant de prendre une décision, il faut analyser tous les éléments pertinents et savoir tirer ses propres conclusions. »
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