L'inconvénient de parler trop vite,
c'est qu'après avoir dit des choses,
on se met dans l'embarras de les penser.
Albert Brie


Il m'est toujours difficile d'en laisser passer une...

Par exemple, cette nouvelle rapportée sur plusieurs sites, mais ente autres, celui de Zone Libre en Éducation (Grics).

L'auteur de l'article signale qu'au regard de l'implantation du logiciel libre dans l'administration publique « la France est très nettement en avance sur le Québec dans ce domaine. » De la part d'un leader dans le monde de l'informatique scolaire, je me bidonne quand je vois une réflexion pareille. Qu'attend donc cette société à but non lucratif pour installer Linux dans les portables des directeurs généraux des commissions scolaires ? Si des députés peuvent comprendre Linux, me semble que nos DG n'auront certainement pas de problèmes eux non plus ! C'est beau de parler, de vanter les mérites du libre, mais tant qu'on ne fait que parler, les choses n'avancent pas vraiment. Et pourtant la GRICS, dont je le rappelle le conseil d'administration est composé de DG des CS, a le pouvoir de changer ces choses.