mercredi 18 juillet 2012
Chemin faisant, page 208
Par Gilles Jobin, mercredi 18 juillet 2012 :: Barratineries
Il faut souffler plus d'une fois sur un désir pour l'éteindre.
Que de méprises on commet envers ceux qu'on appelle heureux et envers ceux qu'on appelle fous!
L'adjectif suit la mode comme le ruban.
Un homme qui a rendu sa femme heureuse peut mourir avec une certaine paix.
Il faut toujours être prêt, et pouvoir, comme le soldat, dire à la mort : Présent!
On est drôle pour les autres, quand on l'est; on ne l'est jamais pour soi-même.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Que de méprises on commet envers ceux qu'on appelle heureux et envers ceux qu'on appelle fous!
L'adjectif suit la mode comme le ruban.
Un homme qui a rendu sa femme heureuse peut mourir avec une certaine paix.
Il faut toujours être prêt, et pouvoir, comme le soldat, dire à la mort : Présent!
On est drôle pour les autres, quand on l'est; on ne l'est jamais pour soi-même.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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