dimanche 8 juillet 2012
Chemin faisant, page 198
Par Gilles Jobin, dimanche 8 juillet 2012 :: Barratineries
Il y a les confidences, puis les quarts, puis les centièmes de confidences, puis les masques de confidences. Amen.
Ah ! que le temps serait court sans les larmes !
Le bien-être est comme l'usurier ; il élève facilement ses prétentions.
Une larme est le premier voile du regard de l'enfant.
Il faut mettre beaucoup de complaisance avec le malheur, comme avec le mari difficile !
L'intimité : on n'est intime qu'avec soi-même.
Il y a des gens qui semblent cirés de vanité.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Ah ! que le temps serait court sans les larmes !
Le bien-être est comme l'usurier ; il élève facilement ses prétentions.
Une larme est le premier voile du regard de l'enfant.
Il faut mettre beaucoup de complaisance avec le malheur, comme avec le mari difficile !
L'intimité : on n'est intime qu'avec soi-même.
Il y a des gens qui semblent cirés de vanité.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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