jeudi 24 mai 2012
Chemin faisant, page 151
Par Gilles Jobin, jeudi 24 mai 2012 :: Barratineries
Tout briser, que c'est facile à côté de tout ménager !
La victoire sur un imbécile peut appauvrir l'imbécile, elle n'enrichit pas l'homme d'esprit.
On a le dédain du dire quand on sait agir.
Les heures sonnent inconsciemment nos douleurs ; elles leur restent cependant associées dans nos souvenirs et nos rancunes.
Les souffrances de la femme sont mêlées d'amour-propre, celles de la mère ne sont que de l'amour meurtri.
L'accomplissement d'un devoir laisse en nous de la fraîcheur, sinon de la joie.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
La victoire sur un imbécile peut appauvrir l'imbécile, elle n'enrichit pas l'homme d'esprit.
On a le dédain du dire quand on sait agir.
Les heures sonnent inconsciemment nos douleurs ; elles leur restent cependant associées dans nos souvenirs et nos rancunes.
Les souffrances de la femme sont mêlées d'amour-propre, celles de la mère ne sont que de l'amour meurtri.
L'accomplissement d'un devoir laisse en nous de la fraîcheur, sinon de la joie.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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