lundi 26 mars 2012
Chemin faisant, page 90
Par Gilles Jobin, lundi 26 mars 2012 :: Barratineries
Il ne faut rien aimer, même son pays, plus que son honneur.
Il est aussi antipathique de penser avec certaines gens que de se laisser embrasser par certaines lèvres.
Un coeur tendre a toujours besoin d'adoption.
La mort se met en route tous les matins et tous les soirs, et comme tout se gare à son approche, elle n'a jamais de retard.
De même que les oiseaux aiment tout ce qui chante, les serpents aiment tout ce qui rampe, les loups tout ce qui hurle.
La souffrance est une pourpre pour le saint.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Il est aussi antipathique de penser avec certaines gens que de se laisser embrasser par certaines lèvres.
Un coeur tendre a toujours besoin d'adoption.
La mort se met en route tous les matins et tous les soirs, et comme tout se gare à son approche, elle n'a jamais de retard.
De même que les oiseaux aiment tout ce qui chante, les serpents aiment tout ce qui rampe, les loups tout ce qui hurle.
La souffrance est une pourpre pour le saint.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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