samedi 17 mars 2012
Chemin faisant, page 81
Par Gilles Jobin, samedi 17 mars 2012 :: Barratineries
Tous les avantages qui ne servent pas, toutes les prétentions qui n'aboutissent pas, quel monde devant et derrière soi !
Réjouir vaut mieux qu'étonner.
Il y a de si douces indifférences qu'on craint de les remuer de peur de les déplacer.
Le retardataire est comme l'ivrogne, il ne recommencera plus.
Être l'esclave de sa femme de chambre, c'est avoir par trop perdu le sens de la liberté.
Toutes les infériorités sont nées jalouses, toutes les supériorités ne sont pas nées humbles ; jugez du conflit.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Réjouir vaut mieux qu'étonner.
Il y a de si douces indifférences qu'on craint de les remuer de peur de les déplacer.
Le retardataire est comme l'ivrogne, il ne recommencera plus.
Être l'esclave de sa femme de chambre, c'est avoir par trop perdu le sens de la liberté.
Toutes les infériorités sont nées jalouses, toutes les supériorités ne sont pas nées humbles ; jugez du conflit.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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