mardi 17 janvier 2012
Chemin faisant, page 18
Par Gilles Jobin, mardi 17 janvier 2012 :: Barratineries
La vraie tolérance consiste à voir large sans perdre la mesure.
On n'apprend pas à sentir, donc on n'apprend pas le tact.
Est-il plus facile de vaincre une antipathie que de maîtriser une sympathie ?
Une antipathie commune nous lie presque autant qu'une sympathie partagée
Une indiscrétion permise : la pénétration.
Il y a le littérateur et le littérâtre, comme il y a l'homme beau et le bellâtre.
Une des bonnes jouissances d'Adam : avoir pensé dans un monde tout neuf et tout silencieux.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
On n'apprend pas à sentir, donc on n'apprend pas le tact.
Est-il plus facile de vaincre une antipathie que de maîtriser une sympathie ?
Une antipathie commune nous lie presque autant qu'une sympathie partagée
Une indiscrétion permise : la pénétration.
Il y a le littérateur et le littérâtre, comme il y a l'homme beau et le bellâtre.
Une des bonnes jouissances d'Adam : avoir pensé dans un monde tout neuf et tout silencieux.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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