Religion. LA RELIGION ET LES POÈTES

Quiconque ouvre l'Évangile pour rire ou pour blasphémer, mieux vaudrait pour lui n'être jamais né.
Byron

Note du transcripteur.
Référence non trouvée.
Je crois au Christ, parce qu'il a apporté à la terre la doc­trine la plus féconde et la plus divine qui ait jamais rayonné sur l'intelligence humaine.
Lemartine

Note du transcripteur.
Voyage en Orient
L'État n'a plus de religion, et c'est pour la France un vrai malheur: tous les cabarets de Paris ne valent pas pour lui une église de campagne.
De Musset

Note du transcripteur.
Mélanges de littérature et de critique,
La citation exacte est :
« L'État n'a plus de religion, et, quoi qu'en disent les humanitaires eux-mêmes, c'est pour le peuple un vrai malheur; le vin à bon marché ne lui rend pas ce qu'il y perd, et tous les cabarets de Paris ne valent pas pour lui une église de campagne, quel qu'en soit d'ailleurs le curé; car c'est l'oubli dos maux qu'on y fête, et l'espérance qu'on y reçoit dans l'hostie.»
Croyez en Dieu comme les femmes et comme les enfants. Faites de cette grande foi toute simple le fond et comme le sol de toutes vos oeuvres.
V. Hugo

Note du transcripteur.
Oeuvres Oratoires, Académie Française, 1841-1844.
Je veux mourir en bon catholique comme tous ceux de ma famille.
A. de Vigny

Note du transcripteur.
Paroles rapportées dans les «Célèbres Conversions Contemporaines» par le R.P. Huguet, 1869.
Fais comme moi. Rouvre ton Évangile et reviens vers la croix. Dépouillé de ton orgueil, présente-toi devant le tri­bunal fondé par Jésus, où règne la suprême miséricorde.
François Coppée

Note du transcripteur.
La Bonne Souffrance
Citation exacte:
Fais comme moi. Rouvre ton évangile et reviens vers la croix. Dépouillé de tout orgueil, présente-toi devant le tribunal fondé par Jésus, où siège une miséricorde qui dépasse nos rêves les plus sublimes de justice.
J'ai ma dévotion de préférence: c'est Jésus-Christ sur la croix.
V. de Laprade

Note du transcripteur.
Référence non trouvée.
Êtes-vous très certains que Dieu n'existe point?
Si Dieu n'est rien, pourquoi lui montrez-vous le poing?
Jean Richepin

Note du transcripteur.
Les Blasphèmes (L'Apologie du Diable.)
Nous avons un coeur franc pour détester les traîtres;
Nous adorons Jésus, le dieu de nos ancêtres.
Auguste Brizeux

Note du transcripteur.
Marie (1882).
Je crois tout ce que croit et enseigne notre Mère la sainte Église, tout ce que Dieu lui révélé et dont il l'a rendue l'éternelle dépositaire.
Ducis

Note du transcripteur.
Extrait trouvé dans son Testament.
Étienne Blanchard, Recueil d'idées, 1928, 1929, 1941, 1947. Voir le premier billet.
cul-de-lampe