De toutes les Paroisses, page 239
Par Gilles Jobin, mardi 30 avril 2013 :: Barratineries :: #1980 :: rss
Avant de planter, on pioche ; avant de convaincre, on ébranle.
La distinction nous sauve des ans auxquels elle résiste.
Toutes ces lèvres peintes sont en train de tuer le baiser.
Plaindre, c'est comprendre.
Les rêveurs sont toujours au bord d'un abîme.
Ma force appartient à mes devoirs avant de m'appartenir.
Les répits que laisse la douleur semblent en être la respiration.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
La distinction nous sauve des ans auxquels elle résiste.
Toutes ces lèvres peintes sont en train de tuer le baiser.
Plaindre, c'est comprendre.
Les rêveurs sont toujours au bord d'un abîme.
Ma force appartient à mes devoirs avant de m'appartenir.
Les répits que laisse la douleur semblent en être la respiration.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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Gilles Jobin
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